Le GP du Canada toujours en vie
Course lundi, 13 oct. 2003. 12:04 jeudi, 12 déc. 2024. 02:48
(PC et RDS.ca) - Le grand patron de la formule Un Bernie Ecclestone a demandé à la Fédération internationale automobile un délai de 2 semaines pour présenter un calendrier définitif pour la saison 2004.
M. Ecclestone tiendrait à ce que la prochaine saison de formule Un compte 18 courses au lieu de 17, pour permettre la présentation d'une épreuve au Canada.
Bernie Ecclestone tenterait toujours de convaincre les écuries d'accepter cette épreuve supplémentaire, après avoir rayé du calendrier la course de Montréal en raison de l'application de la loi antitabac.
Ecclestone, avait annoncé en août que l'épreuve montréalaise ne figurait pas au calendrier 2004 en raison de l'entrée en vigueur, le 1er octobre, de l'interdiction totale de la publicité et des commandites provenant des cigarettiers, qui financent plusieurs écuries automobiles.
Le ministre Cauchon a néanmoins répété qu'il n'était pas question de modifier la loi antitabac ou de verser des fonds publics à l'organisation du Grand Prix pour lui permettre d'indemniser les écuries qui voudraient arborer leurs publicités de cigarettes à Montréal.
Quant à l'idée de suspendre l'application de la loi pendant les trois jours que dure la course, M. Cauchon semble l'avoir déjà rejetée puisqu'elle susciterait la convoitise chez les autres organisateurs d'événements et serait contraire à la Charte canadienne des droits et libertés.
M. Ecclestone tiendrait à ce que la prochaine saison de formule Un compte 18 courses au lieu de 17, pour permettre la présentation d'une épreuve au Canada.
Bernie Ecclestone tenterait toujours de convaincre les écuries d'accepter cette épreuve supplémentaire, après avoir rayé du calendrier la course de Montréal en raison de l'application de la loi antitabac.
Ecclestone, avait annoncé en août que l'épreuve montréalaise ne figurait pas au calendrier 2004 en raison de l'entrée en vigueur, le 1er octobre, de l'interdiction totale de la publicité et des commandites provenant des cigarettiers, qui financent plusieurs écuries automobiles.
Le ministre Cauchon a néanmoins répété qu'il n'était pas question de modifier la loi antitabac ou de verser des fonds publics à l'organisation du Grand Prix pour lui permettre d'indemniser les écuries qui voudraient arborer leurs publicités de cigarettes à Montréal.
Quant à l'idée de suspendre l'application de la loi pendant les trois jours que dure la course, M. Cauchon semble l'avoir déjà rejetée puisqu'elle susciterait la convoitise chez les autres organisateurs d'événements et serait contraire à la Charte canadienne des droits et libertés.