Max Mosley gagne une autre bataille
Course mardi, 8 nov. 2011. 10:51 mercredi, 11 déc. 2024. 23:47
PARIS - Un tribunal français a reconnu coupable News Corp d'«atteinte à la vie privée» à la suite de la publication d'un article affirmant que l'ancien patron de la FIA, Max Mosley, avait participé à une orgie sexuelle à thème nazi.
Le tribunal a condamné la compagnie à verser plus de 32 000 euros (44 000 $ US) en dommages et intérêts en plus des frais de procédure.
Mosley avait déjà remporté une première poursuite en Grande-Bretagne contre le défunt tabloïd «News of the World» pour un article paru en 2008. Il a également porté l'affaire devant la Cour européenne des droits de l'Homme, laquelle pourrait contraindre la Grande-Bretagne à adopter une loi obligeant la presse à prévenir les personnes à propos d'articles portant atteinte à leur vie privée.
Mosley a reconnu avoir rendu visite à des prostituées mais il a nié que cette rencontre avait une connotation nazie. Selon lui, le scénario avait pour cadre une prison allemande, mais sans aspect militaire.
La soirée avait été filmée et des images tirées de cette vidéo avaient été diffusées dans l'édition du 30 mars 2008 du tabloïd, vendue à 672 exemplaires en France.
Le tribunal a condamné la compagnie à verser plus de 32 000 euros (44 000 $ US) en dommages et intérêts en plus des frais de procédure.
Mosley avait déjà remporté une première poursuite en Grande-Bretagne contre le défunt tabloïd «News of the World» pour un article paru en 2008. Il a également porté l'affaire devant la Cour européenne des droits de l'Homme, laquelle pourrait contraindre la Grande-Bretagne à adopter une loi obligeant la presse à prévenir les personnes à propos d'articles portant atteinte à leur vie privée.
Mosley a reconnu avoir rendu visite à des prostituées mais il a nié que cette rencontre avait une connotation nazie. Selon lui, le scénario avait pour cadre une prison allemande, mais sans aspect militaire.
La soirée avait été filmée et des images tirées de cette vidéo avaient été diffusées dans l'édition du 30 mars 2008 du tabloïd, vendue à 672 exemplaires en France.