Michael Schumacher rejette les critiques
Course lundi, 10 mars 2003. 14:31 dimanche, 15 déc. 2024. 06:54
BERLIN, 10 mars (AFP) - Le quintuple champion du monde de Formule 1, l'Allemand Michael Schumacher (Ferrari), a rejeté les critiques essuyées à l'occasion de sa défaite dimanche à Melbourne au Grand Prix d'Australie, où il a dû se contenter de la 4e place, reconnaissant toutefois que la course avait été "chaotique".
"Bien sûr, ce n'était pas le résultat que nous souhaitions, mais on ne doit pas oublier que l'an dernier les circonstances nous avaient été plutôt favorables. Il était clair que cela ne pouvait pas durer éternellement. Et cette course a été chaotique", se justifie-t-il sur son site internet.
"On peut critiquer a posteriori le choix de nos pneus mais pour nous, c'était trop humide au début pour que nous décidions de prendre le départ avec des pneus pour temps sec", souligne "le baron rouge".
"Je peux me satisfaire de la quatrième place, au fond, la saison est encore longue et le championnat du monde ne consiste pas en une course. Il est trop tôt, selon moi, pour me faire une idée juste de la force des autres équipes", conclut-il.
Contexte particulier, interventions de la voiture de sécurité, quelques erreurs inhabituelles aussi du "baron rouge", notamment une sortie de piste, ont offert à la concurrence la possibilité de prendre une part du gâteau. Et sortir la F1 de l'ennui qui s'était installé depuis de longs mois avec des courses lénifiantes dues à une domination sans partage de Ferrari, en particulier lors de la saison 2002.
Le Grand Prix d'Australie, premier Grand Prix de la saison, a marqué un coup d'arrêt à la belle série de la Scuderia, Schumacher ne terminant qu'en quatrième position, tandis que le Britannique David Coulthard, au volant d'une McLaren-Mercedes s'imposait.
Pour la première fois depuis 53 courses, Ferrari n'est pas parvenu à placer un de ses pilotes sur le podium. Pour Michael Schumacher, ce n'était plus arrivé depuis le 16 septembre 2001, un Grand Prix d'Italie de triste mémoire quelques jours après les attentats aux Etats-Unis.
"Bien sûr, ce n'était pas le résultat que nous souhaitions, mais on ne doit pas oublier que l'an dernier les circonstances nous avaient été plutôt favorables. Il était clair que cela ne pouvait pas durer éternellement. Et cette course a été chaotique", se justifie-t-il sur son site internet.
"On peut critiquer a posteriori le choix de nos pneus mais pour nous, c'était trop humide au début pour que nous décidions de prendre le départ avec des pneus pour temps sec", souligne "le baron rouge".
"Je peux me satisfaire de la quatrième place, au fond, la saison est encore longue et le championnat du monde ne consiste pas en une course. Il est trop tôt, selon moi, pour me faire une idée juste de la force des autres équipes", conclut-il.
Contexte particulier, interventions de la voiture de sécurité, quelques erreurs inhabituelles aussi du "baron rouge", notamment une sortie de piste, ont offert à la concurrence la possibilité de prendre une part du gâteau. Et sortir la F1 de l'ennui qui s'était installé depuis de longs mois avec des courses lénifiantes dues à une domination sans partage de Ferrari, en particulier lors de la saison 2002.
Le Grand Prix d'Australie, premier Grand Prix de la saison, a marqué un coup d'arrêt à la belle série de la Scuderia, Schumacher ne terminant qu'en quatrième position, tandis que le Britannique David Coulthard, au volant d'une McLaren-Mercedes s'imposait.
Pour la première fois depuis 53 courses, Ferrari n'est pas parvenu à placer un de ses pilotes sur le podium. Pour Michael Schumacher, ce n'était plus arrivé depuis le 16 septembre 2001, un Grand Prix d'Italie de triste mémoire quelques jours après les attentats aux Etats-Unis.