Rencontre avec Ecclestone et Mosley
Course jeudi, 14 mai 2009. 13:25 dimanche, 15 déc. 2024. 02:47
LONDRES - Les patrons des écuries de Formule 1 vont rencontrer en urgence, vendredi, le président de la Fédération internationale de l'automobile (FIA) Max Mosley et Bernie Ecclestone, le patron de la discipline, pour tenter de trouver un accord concernant la crise qui pourrait conduire les grandes écuries à se retirer du circuit la saison prochaine.
Ferrari, Renault et Toyota ont toutes menacé de se retirer du championnat 2010 en raison de la volonté de la FIA d'imposer un budget limité à 45 millions d'euros (environ 71,8 millions $ CAN). Les écuries qui accepteraient cette mesure bénéficieraient de libertés techniques plus importantes que celles qui ne s'y soumettraient pas.
Plusieurs écuries et de nombreux pilotes estiment que cette mesure créerait un championnat à deux vitesses.
Les trois écuries feront état de leur opposition au projet lors de la réunion prévue dans un hôtel à proximité de l'aéroport d'Heathrow.
Si les grosses écuries quittaient la Formule 1, ce ne serait pas forcément pour créer un circuit parallèle.
"Il doit être clair que nous, Ferrari et les autres, n'avons aucune intention de rompre avec la FIA", a déclaré Flavio Briatore, le patron de l'écurie Renault, jeudi, dans la Gazzetta dello Sport. "Nous voulons rester, participer, préserver le futur."
Ferrari, Renault et Toyota ont toutes menacé de se retirer du championnat 2010 en raison de la volonté de la FIA d'imposer un budget limité à 45 millions d'euros (environ 71,8 millions $ CAN). Les écuries qui accepteraient cette mesure bénéficieraient de libertés techniques plus importantes que celles qui ne s'y soumettraient pas.
Plusieurs écuries et de nombreux pilotes estiment que cette mesure créerait un championnat à deux vitesses.
Les trois écuries feront état de leur opposition au projet lors de la réunion prévue dans un hôtel à proximité de l'aéroport d'Heathrow.
Si les grosses écuries quittaient la Formule 1, ce ne serait pas forcément pour créer un circuit parallèle.
"Il doit être clair que nous, Ferrari et les autres, n'avons aucune intention de rompre avec la FIA", a déclaré Flavio Briatore, le patron de l'écurie Renault, jeudi, dans la Gazzetta dello Sport. "Nous voulons rester, participer, préserver le futur."