Suppression de l'antipatinage : Raikkonen en faveur
Course jeudi, 13 mars 2008. 10:53 samedi, 14 déc. 2024. 23:40
MELBOURNE - Le champion du monde Kimi Raikkonen a estimé que la suppression de l'antipatinage augmentera la pression sur les pilotes lors des départs, jeudi lors d'une conférence de presse en marge du GP d'Australie qui ouvre la saison du Championnat du monde de F1.
"Avant c'était plus ou moins automatique, tous les pilotes prenaient un bon départ et étaient vraiment très proches l'un de l'autre, tandis que maintenant, c'est à l'appréciation du pilote, et si tu fais une erreur, tu vas être très lent à t'extraire de la grille", a expliqué le Finlandais, favorable à cette nouvelle règle.
"Tu peux beaucoup y gagner, mais aussi beaucoup y perdre, spécialement dans des conditions humides", a ajouté Raikkonen. "Je pense que dans des conditions difficiles, d'humidité ou de piste glissante, la manoeuvre de départ sera beaucoup plus délicate".
L'antipatinage, autrement appelé système de contrôle de traction, a été supprimé cette année.
Ce système permettait aux pilotes de na pas avoir à doser l'accélérateur. L'électronique s'en occupait et évitait tout patinage intempestif en phase de forte accélération, ce qui limitait le risque de tête à queue.
"L'année dernière nous mettions le pied au plancher sans réfléchir. Cette année il faudra se montrer beaucoup plus progressif", a estimé de son côté l'Espagnol Fernando Alonso.
"Avant c'était plus ou moins automatique, tous les pilotes prenaient un bon départ et étaient vraiment très proches l'un de l'autre, tandis que maintenant, c'est à l'appréciation du pilote, et si tu fais une erreur, tu vas être très lent à t'extraire de la grille", a expliqué le Finlandais, favorable à cette nouvelle règle.
"Tu peux beaucoup y gagner, mais aussi beaucoup y perdre, spécialement dans des conditions humides", a ajouté Raikkonen. "Je pense que dans des conditions difficiles, d'humidité ou de piste glissante, la manoeuvre de départ sera beaucoup plus délicate".
L'antipatinage, autrement appelé système de contrôle de traction, a été supprimé cette année.
Ce système permettait aux pilotes de na pas avoir à doser l'accélérateur. L'électronique s'en occupait et évitait tout patinage intempestif en phase de forte accélération, ce qui limitait le risque de tête à queue.
"L'année dernière nous mettions le pied au plancher sans réfléchir. Cette année il faudra se montrer beaucoup plus progressif", a estimé de son côté l'Espagnol Fernando Alonso.