Toronto veut le GP du Canada
Course vendredi, 18 févr. 2005. 08:38 jeudi, 12 déc. 2024. 03:54
(D'après PC et RDS) - L'hommes d'affaires de Toronto Alex Shnaider, qui a récemment mis la main sur l'écurie Jordan, aurait été contacté pour faire un lobby auprès des dirigeants de la Formule 1 pour que le Grand Prix du Canada soit présenté à Toronto plutôt qu'à Montréal.
C'est ce qu'a appris le Journal de Montréal, qui rapporte le tout dans son édition de vendredi matin.
La nouvelle a été confirmée par Hannelore Gude Hohensinner, porte-parole de Midland F1, une entreprise qui est la propriété de Shnaider.
Si son projet n'est pas accepté, Shnaider s'accomoderait d'un système d'alternance entre Montréal et Toronto, comme c'est le cas pour les Internationaux de tennis du Canada. Dans les années 1960, c'est d'ailleurs la façon dont était présenté le Grand Prix du Canada: une année à Mont-Tremblant au Québec puis l'autre à Mosport en Ontario.
Si Roger Paert, président de l'Autorité sportive nationale du Canada, qui représente la FIA, réplique ne pas voir pourquoi le Grand Prix se tiendrait ailleurs qu'à Montréal, il faut quand même noter que lors du sauvetage de l'événement, le promoteur, Normand Legault, n'a obtenu une garantie que jusqu'en 2006.
Événement touristique par excellence de Montréal, le Grand Prix attire chaque année plus de 200.000 spectateurs au circuit Gilles-Villeneuve, en plus de générer des dizaines de millions de dollars en retombées économiques.
C'est ce qu'a appris le Journal de Montréal, qui rapporte le tout dans son édition de vendredi matin.
La nouvelle a été confirmée par Hannelore Gude Hohensinner, porte-parole de Midland F1, une entreprise qui est la propriété de Shnaider.
Si son projet n'est pas accepté, Shnaider s'accomoderait d'un système d'alternance entre Montréal et Toronto, comme c'est le cas pour les Internationaux de tennis du Canada. Dans les années 1960, c'est d'ailleurs la façon dont était présenté le Grand Prix du Canada: une année à Mont-Tremblant au Québec puis l'autre à Mosport en Ontario.
Si Roger Paert, président de l'Autorité sportive nationale du Canada, qui représente la FIA, réplique ne pas voir pourquoi le Grand Prix se tiendrait ailleurs qu'à Montréal, il faut quand même noter que lors du sauvetage de l'événement, le promoteur, Normand Legault, n'a obtenu une garantie que jusqu'en 2006.
Événement touristique par excellence de Montréal, le Grand Prix attire chaque année plus de 200.000 spectateurs au circuit Gilles-Villeneuve, en plus de générer des dizaines de millions de dollars en retombées économiques.