Un calendrier à 20 Grands Prix?
Course mardi, 3 avr. 2007. 10:00 jeudi, 12 déc. 2024. 10:55
BERLIN - Le grand patron de la Formule 1, le Britannique Bernie Ecclestone, a indiqué mardi que le nombre de Grands Prix figurant au calendrier d'une saison pourrait à terme grimper à 20, contre 17 actuellement.
"On peut facilement imaginer que le nombre de Grands Prix dans une saison puisse être de 20", a déclaré Ecclestone, dans un entretien à l'agence allemande d'informations sportives SID.
"Cela pourrait être au Mexique, en Inde, en Russie. La Corée du Sud est un autre candidat", a-t-il poursuivi en évoquant également la possibilité d'organiser un nouveau Grand Prix sur un circuit urbain.
Il est par ailleurs revenu sur le projet de disputer un GP en nocturne: "Cela serait idéal pour l'Extrême-Orient, puisqu'on serait alors à la bonne heure de diffusion en Europe. Et cela serait très spectaculaire aussi, tout dépend bien sûr du circuit".
Aux patrons d'écurie qui seraient opposés à la création de nouveaux rendez-vous, M. Ecclestone fait une réponse toute simple: "Plus on disputera de courses dans les bons pays, plus il leur sera facile de trouver des partenaires".
Le grand ordonnateur de la F1 a rappelé que "la discipline n'était pas liée à tel ou tel pays", en réaction aux menaces pesant sur le Grand Prix de France pour 2008.
"La F1 est très internationale, c'est un championnat du monde, pas un championnat lié à certains pays. Et quand les normes (en matière d'accueil) ne sont plus respectées, il nous faut aller voir ailleurs", a conclu M. Ecclestone.
"On peut facilement imaginer que le nombre de Grands Prix dans une saison puisse être de 20", a déclaré Ecclestone, dans un entretien à l'agence allemande d'informations sportives SID.
"Cela pourrait être au Mexique, en Inde, en Russie. La Corée du Sud est un autre candidat", a-t-il poursuivi en évoquant également la possibilité d'organiser un nouveau Grand Prix sur un circuit urbain.
Il est par ailleurs revenu sur le projet de disputer un GP en nocturne: "Cela serait idéal pour l'Extrême-Orient, puisqu'on serait alors à la bonne heure de diffusion en Europe. Et cela serait très spectaculaire aussi, tout dépend bien sûr du circuit".
Aux patrons d'écurie qui seraient opposés à la création de nouveaux rendez-vous, M. Ecclestone fait une réponse toute simple: "Plus on disputera de courses dans les bons pays, plus il leur sera facile de trouver des partenaires".
Le grand ordonnateur de la F1 a rappelé que "la discipline n'était pas liée à tel ou tel pays", en réaction aux menaces pesant sur le Grand Prix de France pour 2008.
"La F1 est très internationale, c'est un championnat du monde, pas un championnat lié à certains pays. Et quand les normes (en matière d'accueil) ne sont plus respectées, il nous faut aller voir ailleurs", a conclu M. Ecclestone.