Un Grand Prix de F1 en Turquie en 2005?
Course jeudi, 28 mars 2002. 12:59 dimanche, 15 déc. 2024. 07:50
ISTANBUL (AP) - La Turquie pourrait organiser un Grand Prix de Formule 1 en 2005 si les autorités du pays sont en mesure de construire un nouveau circuit dans les temps, a déclaré jeudi Bernie Ecclestone. ''Ce serait bien pour nous d'être en Turquie, dans cette partie du monde'', a déclaré le patron de la F1 à la presse, réunie à l'aéroport d'Istanbul Sabiha Gokcen, où il s'est entretenu avec le président de la Fédération automobile turque, Mumtaz Tahincioglu.
Mais Ecclestone a souligné que tout dépendrait de la ''vitesse à laquelle le circuit sera construit''.
La fédération de Tahincioglu fait pression sur le gouvernement pour qu'il soutienne la construction du circuit, estimée à 60 millions de dollars (environ 69 millions d'euros).
Tahincioglu a ajouté qu'Ecclestone avait promis à la Turquie une place dans le calendrier 2005 de la Formule 1 à condition que la piste soit achevée au mois de septembre 2004.
Si les fonds nécessaires à la construction sont réunis, les Turcs devront ensuite déterminer le site du futur circuit. Selon Tahincioglu, sa fédération hésite entre Istanbul, Izmir et Antalya. Istanbul tiendrait la corde.
La Turquie fait face à la concurrence de la Russie, du Liban, de l'Egypte et des Emirats Arabes Unis, qui souhaitent aussi organiser un Grand Prix de F1 dans les prochaines années.
Mais Ecclestone a souligné que tout dépendrait de la ''vitesse à laquelle le circuit sera construit''.
La fédération de Tahincioglu fait pression sur le gouvernement pour qu'il soutienne la construction du circuit, estimée à 60 millions de dollars (environ 69 millions d'euros).
Tahincioglu a ajouté qu'Ecclestone avait promis à la Turquie une place dans le calendrier 2005 de la Formule 1 à condition que la piste soit achevée au mois de septembre 2004.
Si les fonds nécessaires à la construction sont réunis, les Turcs devront ensuite déterminer le site du futur circuit. Selon Tahincioglu, sa fédération hésite entre Istanbul, Izmir et Antalya. Istanbul tiendrait la corde.
La Turquie fait face à la concurrence de la Russie, du Liban, de l'Egypte et des Emirats Arabes Unis, qui souhaitent aussi organiser un Grand Prix de F1 dans les prochaines années.