Basso devant les autorités italiennes
Cyclisme jeudi, 3 août 2006. 15:04 dimanche, 15 déc. 2024. 15:36
ROME (AP) - Ivan Basso, exclu du Tour de France à la veille du départ en raison de son implication présumée dans le scandale de dopage espagnol, sera entendu par les autorités antidopage italiennes le 29 août, a rapporté jeudi l'agence ANSA.
Le Comité olympique italien a demandé au coureur de la CSC de se présenter au Stade olympique de Rome pour y être entendu.
Basso, 28 ans, a remporté le dernier Giro et était présenté comme le favori du Tour de France 2006.
Il en a été exclu à la veille du départ en compagnie de plusieurs coureurs - parmi lesquels l'autre favori Jan Ullrich - dont les noms apparaissaient dans l'enquête menée par les autorités espagnoles sur le réseau de dopage sanguin présumé mis en place par le Dr Eufemiano Fuentes. Fuentes est l'ancien médecin de l'équipe Liberty Seguros, aujourd'hui rebaptisée Astana.
Lors de perquisitions, la police espagnole avait notamment découvert des poches de sang et de plasma congelés, ainsi que des listes de noms codés détaillant les "clients" de Fuentes. C'est en décodant ces noms que les autorités ibériques ont lié Basso et Ullrich au médecin.
Basso a nié avoir eu recours à des pratiques interdites. Ullrich, qui dément lui aussi, a depuis été licencié par son équipe, la T-Mobile.
Le Comité olympique italien a demandé au coureur de la CSC de se présenter au Stade olympique de Rome pour y être entendu.
Basso, 28 ans, a remporté le dernier Giro et était présenté comme le favori du Tour de France 2006.
Il en a été exclu à la veille du départ en compagnie de plusieurs coureurs - parmi lesquels l'autre favori Jan Ullrich - dont les noms apparaissaient dans l'enquête menée par les autorités espagnoles sur le réseau de dopage sanguin présumé mis en place par le Dr Eufemiano Fuentes. Fuentes est l'ancien médecin de l'équipe Liberty Seguros, aujourd'hui rebaptisée Astana.
Lors de perquisitions, la police espagnole avait notamment découvert des poches de sang et de plasma congelés, ainsi que des listes de noms codés détaillant les "clients" de Fuentes. C'est en décodant ces noms que les autorités ibériques ont lié Basso et Ullrich au médecin.
Basso a nié avoir eu recours à des pratiques interdites. Ullrich, qui dément lui aussi, a depuis été licencié par son équipe, la T-Mobile.