Boonen contestera en justice
Cyclisme samedi, 16 mai 2009. 10:39 vendredi, 13 déc. 2024. 00:37
BRUXELLES - Le Belge Tom Boonen, récemment contrôlé positif à la cocaïne, contestera en justice toute décision de l'organisateur du Tour de France cycliste qui viserait à l'exclure de la course, a affirmé samedi l'avocat du coureur dans la presse flamande.
"Nous attendons encore un courrier officiel concernant l'exclusion décidée par l'organisateur du Tour, ASO (Amaury Sport Organisation)", explique Luc Deleu aux journaux De Morgen et Het Laatste Nieuws.
"Nous lancerons alors une action judiciaire devant un tribunal parisien. Boonen est exclu par ASO pour des raisons éthiques qui n'ont rien à voir avec une pratique responsable du sport. La cocaïne, consommée hors compétition, n'est pas du dopage. On lui interdit de travailler sur la base d'une décision arbitraire", poursuit-il.
Mardi, Christian Prudhomme, le directeur du Tour de France, avait déclaré qu'il "est évidemment impossible que Boonen soit au départ" de la Grand Boucle cette année.
L'année passée, Boonen avait déjà dû renoncer au Tour de France à la suite de son premier contrôle, "pour atteinte à l'intégrité de l'épreuve" avait justifié ASO.
Boonen, 28 ans, a été contrôlé positif à la cocaïne fin avril, hors-compétition, pour la troisième fois en un an et demi. Le vainqueur de Paris-Roubaix a été suspendu pour une durée indéterminée par son équipe Quick Step qui lui a imposé de suivre un traitement médical pour résoudre son problème de drogue.
Le directeur général de Quick Step, Patrick Lefevere, a affirmé vendredi qu'il souhaitait que Boonen reprenne au plus vite la compétition "pour éviter de le voir gamberger".
"C'est en dehors des période de course que Tom fait des bêtises. Reprendre les entraînements et la compétition au plus vite ne pourra être que bénéfique. C'est son seul remède", a expliqué Lefevere au journal Le Soir.
Boonen pourrait reprendre la compétition lors du Dauphiné Libéré (7-14 juin) selon la presse belge.
"Nous attendons encore un courrier officiel concernant l'exclusion décidée par l'organisateur du Tour, ASO (Amaury Sport Organisation)", explique Luc Deleu aux journaux De Morgen et Het Laatste Nieuws.
"Nous lancerons alors une action judiciaire devant un tribunal parisien. Boonen est exclu par ASO pour des raisons éthiques qui n'ont rien à voir avec une pratique responsable du sport. La cocaïne, consommée hors compétition, n'est pas du dopage. On lui interdit de travailler sur la base d'une décision arbitraire", poursuit-il.
Mardi, Christian Prudhomme, le directeur du Tour de France, avait déclaré qu'il "est évidemment impossible que Boonen soit au départ" de la Grand Boucle cette année.
L'année passée, Boonen avait déjà dû renoncer au Tour de France à la suite de son premier contrôle, "pour atteinte à l'intégrité de l'épreuve" avait justifié ASO.
Boonen, 28 ans, a été contrôlé positif à la cocaïne fin avril, hors-compétition, pour la troisième fois en un an et demi. Le vainqueur de Paris-Roubaix a été suspendu pour une durée indéterminée par son équipe Quick Step qui lui a imposé de suivre un traitement médical pour résoudre son problème de drogue.
Le directeur général de Quick Step, Patrick Lefevere, a affirmé vendredi qu'il souhaitait que Boonen reprenne au plus vite la compétition "pour éviter de le voir gamberger".
"C'est en dehors des période de course que Tom fait des bêtises. Reprendre les entraînements et la compétition au plus vite ne pourra être que bénéfique. C'est son seul remède", a expliqué Lefevere au journal Le Soir.
Boonen pourrait reprendre la compétition lors du Dauphiné Libéré (7-14 juin) selon la presse belge.