Boonen : jamais deux sans trois?
Cyclisme lundi, 11 mai 2009. 10:35 jeudi, 12 déc. 2024. 09:40
BRUXELLES - Le cycliste belge Tom Boonen avait déjà subi un contrôle positif à la cocaïne hors compétition en novembre 2007 en Suisse, ont révélé lundi plusieurs quotidiens flamands, ce qui porte le nombre de contrôle positif à cette substance à trois pour le champion du monde 2005.
Le coureur qui a été suspendu samedi par son équipe, Quick Step, pour avoir été contrôlé positif à la cocaïne en avril dernier moins de douze mois après un autre contrôle (en mai 2008), avait subi un test diligenté par l'Union cycliste internationale à Bâle (Suisse) le 15 novembre 2007.
Ce contrôle ayant été effectué hors compétition, l'UCI n'avait pas sanctionné le coureur, la cocaïne n'étant pas interdite en dehors des périodes de courses. L'instance sportive n'avait pas non plus communiqué les résultats du contrôle à la justice, selon le journal De Morgen.
Le quotidien néerlandophone affirme que Boonen et les dirigeants de l'équipe Quick Step avaient connaissance de ce premier contrôle positif à la cocaïne.
Les dirigeants de l'équipe Quick Step doivent se réunir lundi pour envisager d'éventuelles sanctions en plus de la suspension de toute compétition "pour une durée indéterminée" déjà décidée.
Le Belge Frank De Cock, patron de la société Quick Step, avait affirmé dimanche qu'il ne tentera pas de convaincre ASO, l'organisateur du Tour de France, d'accepter Boonen au départ de la Grande Boucle.
La justice belge qui a ouvert une enquête a déjà interrogé le coureur et pourrait décider de le poursuivre.
Le coureur qui a été suspendu samedi par son équipe, Quick Step, pour avoir été contrôlé positif à la cocaïne en avril dernier moins de douze mois après un autre contrôle (en mai 2008), avait subi un test diligenté par l'Union cycliste internationale à Bâle (Suisse) le 15 novembre 2007.
Ce contrôle ayant été effectué hors compétition, l'UCI n'avait pas sanctionné le coureur, la cocaïne n'étant pas interdite en dehors des périodes de courses. L'instance sportive n'avait pas non plus communiqué les résultats du contrôle à la justice, selon le journal De Morgen.
Le quotidien néerlandophone affirme que Boonen et les dirigeants de l'équipe Quick Step avaient connaissance de ce premier contrôle positif à la cocaïne.
Les dirigeants de l'équipe Quick Step doivent se réunir lundi pour envisager d'éventuelles sanctions en plus de la suspension de toute compétition "pour une durée indéterminée" déjà décidée.
Le Belge Frank De Cock, patron de la société Quick Step, avait affirmé dimanche qu'il ne tentera pas de convaincre ASO, l'organisateur du Tour de France, d'accepter Boonen au départ de la Grande Boucle.
La justice belge qui a ouvert une enquête a déjà interrogé le coureur et pourrait décider de le poursuivre.