"C'est tolérance zéro"
Cyclisme mercredi, 1 juin 2005. 14:49 dimanche, 15 déc. 2024. 16:27
PARIS (AFP) - Jean-Marie Leblanc, directeur du Tour de France, a estimé que le licenciement du coureur cycliste néerlandais Marc Lotz après ses aveux de dopage était "l'application de la tolérance zéro".
"C'est dans l'ordre normal des choses", a déclaré à l'AFP le directeur du Tour. "Il y a là la stricte application de la tolérance zéro qui découle de la charte signée par les équipes et c'est bien ainsi".
Lotz, qui a avoué aux autorités judiciaires avoir utilisé de l'EPO (erythropoïetine) en vue du Tour de France, a présenté mercredi sa démission avec effet immédiat à l'équipe Quick Step.
"Je ne pouvais rien faire d'autre que d'accepter sa démission, sans cela nous aurions été obligés de le renvoyer. Nous avons une charte dans laquelle nous adoptons une tolérance zéro en matière d'usage de dopage", a souligné pour sa part le manageur général de Quick Step, Patrick Lefevere.
"C'est dans l'ordre normal des choses", a déclaré à l'AFP le directeur du Tour. "Il y a là la stricte application de la tolérance zéro qui découle de la charte signée par les équipes et c'est bien ainsi".
Lotz, qui a avoué aux autorités judiciaires avoir utilisé de l'EPO (erythropoïetine) en vue du Tour de France, a présenté mercredi sa démission avec effet immédiat à l'équipe Quick Step.
"Je ne pouvais rien faire d'autre que d'accepter sa démission, sans cela nous aurions été obligés de le renvoyer. Nous avons une charte dans laquelle nous adoptons une tolérance zéro en matière d'usage de dopage", a souligné pour sa part le manageur général de Quick Step, Patrick Lefevere.