L'étonnante saison de David Veilleux
Cyclisme samedi, 2 sept. 2006. 15:12 vendredi, 26 avr. 2024. 02:12
(RDS) - David Veilleux a été l'un des cyclistes québécois qui se sont le plus démarqués au cours de l'été et est l'un de ceux qu'il faut prendre en considération comme la relève du cyclisme canadien.
Veilleux aura 19 ans à la fin novembre et déjà, il se comporte comme un vétéran. À sa première année chez les espoirs, il a dominé son sport. Après avoir remporté le championnat canadien l'an dernier, il a gagné le championnat québécois en fin de semaine en Beauce.
Champion du Tour de l'Abitibi l'an dernier, Veilleux ne s'attendait pas à autant de succès cette année. Surtout que le calibre n'est pas le même et que ses adversaires sont plus vieux.
"Je m'attendais plutôt à un été difficile et d'apprentissage, admet-il. Cette nouvelle catégorie est beaucoup plus difficile et les distances sont plus longues."
Depuis trois saisons, Veilleux s'entraîne très sérieusement et ses efforts ont rapporté. Il a inscrit 14 victoires au cours de la saison estivale en prenant part à une quarantaine de course.
Malgré un calendrier chargé, sa saison n'est pas terminée pour autant. Il prendra part à une épreuve internationale au Vermont en fin de semaine avant de s'attaquer au championnat du monde en Autriche dans moins d'un mois.
"La compétition sera très relevée et les parcours seront difficiles, entrevoit-il. J'ai eu de bonnes performances alors peut-être que ça ira bien."
David Veilleux rêve d'aller le plus loin possible dans le vélo avec un aboutissement chez les professionnels. Cette année, il fait partie d'un groupe de six coureurs au sein de l'équipe Garneau Optik Info 800. Il profite de l'encadrement de Louis Garneau depuis trois ans. Ce dernier continue d'optimiser son apport à l'équipe.
"Il m'a fait essayer des vélos. Il nous prête l'équipement et de notre côté nous lui faisons un rapport sur ce qui fonctionne ou ce qui ne fonctionne pas avec l'équipement", explique le jeune cycliste.
Étudiant en deuxième année au Cégep F.-X. Garneau en sciences de la nature, Veilleux vit pleinement le fruit de son travail dans un contexte où les cyclistes québécois jouissent d'une belle plate-forme de développement.
Veilleux aura 19 ans à la fin novembre et déjà, il se comporte comme un vétéran. À sa première année chez les espoirs, il a dominé son sport. Après avoir remporté le championnat canadien l'an dernier, il a gagné le championnat québécois en fin de semaine en Beauce.
Champion du Tour de l'Abitibi l'an dernier, Veilleux ne s'attendait pas à autant de succès cette année. Surtout que le calibre n'est pas le même et que ses adversaires sont plus vieux.
"Je m'attendais plutôt à un été difficile et d'apprentissage, admet-il. Cette nouvelle catégorie est beaucoup plus difficile et les distances sont plus longues."
Depuis trois saisons, Veilleux s'entraîne très sérieusement et ses efforts ont rapporté. Il a inscrit 14 victoires au cours de la saison estivale en prenant part à une quarantaine de course.
Malgré un calendrier chargé, sa saison n'est pas terminée pour autant. Il prendra part à une épreuve internationale au Vermont en fin de semaine avant de s'attaquer au championnat du monde en Autriche dans moins d'un mois.
"La compétition sera très relevée et les parcours seront difficiles, entrevoit-il. J'ai eu de bonnes performances alors peut-être que ça ira bien."
David Veilleux rêve d'aller le plus loin possible dans le vélo avec un aboutissement chez les professionnels. Cette année, il fait partie d'un groupe de six coureurs au sein de l'équipe Garneau Optik Info 800. Il profite de l'encadrement de Louis Garneau depuis trois ans. Ce dernier continue d'optimiser son apport à l'équipe.
"Il m'a fait essayer des vélos. Il nous prête l'équipement et de notre côté nous lui faisons un rapport sur ce qui fonctionne ou ce qui ne fonctionne pas avec l'équipement", explique le jeune cycliste.
Étudiant en deuxième année au Cégep F.-X. Garneau en sciences de la nature, Veilleux vit pleinement le fruit de son travail dans un contexte où les cyclistes québécois jouissent d'une belle plate-forme de développement.
