Cofidis décidé à rester au-delà de 2005
Cyclisme vendredi, 1 oct. 2004. 13:11 mercredi, 11 déc. 2024. 21:37
VERONE (AFP) - L'équipe française Cofidis, retenue pour le futur circuit UCI ProTour, a affirmé vendredi sa volonté de rester dans le peloton cycliste professionnel au-delà de l'année 2005.
"Si nous avons voulu être dans le ProTour, ce n'est pas pour passer la main après un an", a déclaré à l'AFP François Migraine, PDG de la société de crédit par téléphone.
"Le seul événement qui nous obligerait à sortir serait que l'enquête en cours nous fasse découvrir des choses que l'on juge inconciliables avec la poursuite de notre activité. C'est une hypothèse à laquelle on ne croit pas", a ajouté le dirigeant de la société nordiste.
Cofidis, dont plusieurs coureurs (parmi lesquels le Britannique David Millar et l'Italien Massimiliano Lelli) ont été mis en examen depuis le début de l'année dans le cadre d'une enquête sur un trafic présumé de produits dopants, a suspendu l'activité de son équipe pendant près d'un mois au printemps avant de repartir sur d'autres bases.
"Nous avons mis en place de nouvelles dispositions et ceux qui ont été recrutés pour l'année prochaine sont concernés de la même manière", a ajouté François Migraine en rappelant les contrôles à répétition (sang, cheveux) que doivent subir les coureurs de sa formation.
"Si nous avons voulu être dans le ProTour, ce n'est pas pour passer la main après un an", a déclaré à l'AFP François Migraine, PDG de la société de crédit par téléphone.
"Le seul événement qui nous obligerait à sortir serait que l'enquête en cours nous fasse découvrir des choses que l'on juge inconciliables avec la poursuite de notre activité. C'est une hypothèse à laquelle on ne croit pas", a ajouté le dirigeant de la société nordiste.
Cofidis, dont plusieurs coureurs (parmi lesquels le Britannique David Millar et l'Italien Massimiliano Lelli) ont été mis en examen depuis le début de l'année dans le cadre d'une enquête sur un trafic présumé de produits dopants, a suspendu l'activité de son équipe pendant près d'un mois au printemps avant de repartir sur d'autres bases.
"Nous avons mis en place de nouvelles dispositions et ceux qui ont été recrutés pour l'année prochaine sont concernés de la même manière", a ajouté François Migraine en rappelant les contrôles à répétition (sang, cheveux) que doivent subir les coureurs de sa formation.