Des traces d'EPO chez 3 autres coureurs
Cyclisme dimanche, 11 sept. 2005. 13:16 dimanche, 15 déc. 2024. 07:38
PARIS (AFP) - Les coureurs espagnol Manuel Beltran, colombien Jose Joachim Castelblanco et danois Bo Hamburger ont fait usage d'EPO pendant le Tour de France cycliste 1999, tout comme l'Américain Lance Armstrong, affirme l'hebdomadaire français le Journal du Dimanche.
Le laboratoire de dépistage du dopage de Châtenay-Malabry (région parisienne), qui a effectué ces analyses, avait affirmé le 23 août que 12 flacons d'urine prélevés en 1999 et analysés récemment contenaient de l'EPO, un produit dopant interdit.
Le quotidien sportif français l'Equipe avait révélé, sur la foi de procès verbaux, que six de ces flacons provenaient du vainqueur du Tour Lance Armstrong. Les "propriétaires" des six autres flacons positifs étaient jusqu'à présent inconnus.
Selon le JDD, qui ne précise pas combien d'échantillons appartiennent à quels coureurs, Beltran, Castelblanco et Hamburger seraient donc au nombre des coureurs positifs.
En 1999, l'EPO était interdite mais il n'existait encore aucune méthode pour la détecter.
Les analyses citées par l'Equipe ont été réalisées en 2004 dans le cadre d'une étude scientifique, et non dans le cadre d'un contrôle antidopage. Selon les autorités sportives, elles ne peuvent donc pas être utilisées pour engager des procédures disciplinaires.
Le laboratoire de dépistage du dopage de Châtenay-Malabry (région parisienne), qui a effectué ces analyses, avait affirmé le 23 août que 12 flacons d'urine prélevés en 1999 et analysés récemment contenaient de l'EPO, un produit dopant interdit.
Le quotidien sportif français l'Equipe avait révélé, sur la foi de procès verbaux, que six de ces flacons provenaient du vainqueur du Tour Lance Armstrong. Les "propriétaires" des six autres flacons positifs étaient jusqu'à présent inconnus.
Selon le JDD, qui ne précise pas combien d'échantillons appartiennent à quels coureurs, Beltran, Castelblanco et Hamburger seraient donc au nombre des coureurs positifs.
En 1999, l'EPO était interdite mais il n'existait encore aucune méthode pour la détecter.
Les analyses citées par l'Equipe ont été réalisées en 2004 dans le cadre d'une étude scientifique, et non dans le cadre d'un contrôle antidopage. Selon les autorités sportives, elles ne peuvent donc pas être utilisées pour engager des procédures disciplinaires.