Frank Schleck se dit encore innocent
Cyclisme mercredi, 19 déc. 2012. 16:11 jeudi, 12 déc. 2024. 06:40
LUXEMBOURG - Le Luxembourgeois Frank Schleck, contrôlé positif à un diurétique (Xipamide) lors du Tour de France 2012, a répété mercredi devant l'agence luxembourgeoise antidopage (ALAD) n'avoir «jamais commis de faute», a appris l'AFP auprès du coureur.
«J'ai pu m'expliquer une nouvelle fois. Je n'ai jamais commis de faute. L'instruction continue, mais n'est pas terminée», a expliqué Frank Schleck au terme d'une audience de plus de deux heures devant la commission de discipline de l'ALAD, supervisée par un représentant de l'Union cycliste internationale (UCI).
Il s'agissait de sa troisième audition devant cette instance. La première avait eu lieu le 29 août.
Une deuxième entrevue s'était déroulée le 15 octobre. Frank Schleck s'était alors expliqué pendant une quarantaine de minutes avant que Maxime Monfort, son compagnon de chambrée sur le Tour 2012, vienne défendre son leader.
L'ALAD n'a pas communiqué mercredi sur les suites de la procédure.
L'aîné des frères Schleck avait fait l'objet d'un contrôle antidopage positif à l'issue de la 13e étape du Tour, le 14 juillet, au Cap d'Agde (Hérault). Il avait quitté l'épreuve au terme de la 15e étape alors qu'il occupait la 12e place du classement général.
La contre-expertise de l'échantillon B avait ensuite confirmé ce contrôle positif. Frank Schleck avait dès le début de l'affaire plaidé la thèse de l'empoisonnement ou de l'accident.
«J'ai pu m'expliquer une nouvelle fois. Je n'ai jamais commis de faute. L'instruction continue, mais n'est pas terminée», a expliqué Frank Schleck au terme d'une audience de plus de deux heures devant la commission de discipline de l'ALAD, supervisée par un représentant de l'Union cycliste internationale (UCI).
Il s'agissait de sa troisième audition devant cette instance. La première avait eu lieu le 29 août.
Une deuxième entrevue s'était déroulée le 15 octobre. Frank Schleck s'était alors expliqué pendant une quarantaine de minutes avant que Maxime Monfort, son compagnon de chambrée sur le Tour 2012, vienne défendre son leader.
L'ALAD n'a pas communiqué mercredi sur les suites de la procédure.
L'aîné des frères Schleck avait fait l'objet d'un contrôle antidopage positif à l'issue de la 13e étape du Tour, le 14 juillet, au Cap d'Agde (Hérault). Il avait quitté l'épreuve au terme de la 15e étape alors qu'il occupait la 12e place du classement général.
La contre-expertise de l'échantillon B avait ensuite confirmé ce contrôle positif. Frank Schleck avait dès le début de l'affaire plaidé la thèse de l'empoisonnement ou de l'accident.