Jef d'Hont accuse encore Jan Ullrich
Cyclisme mardi, 5 juin 2007. 15:22 samedi, 14 déc. 2024. 14:51
BERLIN - Jef d'Hont, ancien soigneur de la formation cycliste allemande Telekom, a accusé mardi une nouvelle fois Jan Ullrich, vainqueur du Tour de France 1997, d'avoir utilisé des produits dopants dans les années 1990.
"Jan a pris de l'EPO et des hormones de croissance, je suis catégorique", a déclaré d'Hont à la chaîne de télévision allemande ARD.
"Jan devrait dire ce qui se passait à l'époque, comme les autres, Riis, Aldag l'ont fait", a indiqué l'ancien soigneur de Telekom qui a publié ses mémoires le mois dernier et conduit sept anciens coureurs de l'équipe allemande, dont le vainqueur du Tour 1996, Bjarne Riis, à admettre avoir recours à des pratiques dopantes.
Outre les révélations contenues dans son livre et celles présentes dans un entretien à l'hebdomadaire Der Spiegel, d'Hont avait affirmé fin mai avoir lui-même "injecté une fois de l'EPO dans le bras" d'Ullrich.
Ullrich, qui a mis un terme à sa carrière en février suite à sa mise en cause dans l'affaire de dopage Puerto, en Espagne, est l'un des derniers anciens de Telekom à se taire encore.
Il a toujours assuré ne s'être jamais dopé: "Je n'ai rien à me reprocher, je n'ai jamais trompé personne", avait-il affirmé en février dernier, tandis que son entourage repète depuis le début de l'affaire Telekom qu'il n'a rien à avouer.
"Jan a pris de l'EPO et des hormones de croissance, je suis catégorique", a déclaré d'Hont à la chaîne de télévision allemande ARD.
"Jan devrait dire ce qui se passait à l'époque, comme les autres, Riis, Aldag l'ont fait", a indiqué l'ancien soigneur de Telekom qui a publié ses mémoires le mois dernier et conduit sept anciens coureurs de l'équipe allemande, dont le vainqueur du Tour 1996, Bjarne Riis, à admettre avoir recours à des pratiques dopantes.
Outre les révélations contenues dans son livre et celles présentes dans un entretien à l'hebdomadaire Der Spiegel, d'Hont avait affirmé fin mai avoir lui-même "injecté une fois de l'EPO dans le bras" d'Ullrich.
Ullrich, qui a mis un terme à sa carrière en février suite à sa mise en cause dans l'affaire de dopage Puerto, en Espagne, est l'un des derniers anciens de Telekom à se taire encore.
Il a toujours assuré ne s'être jamais dopé: "Je n'ai rien à me reprocher, je n'ai jamais trompé personne", avait-il affirmé en février dernier, tandis que son entourage repète depuis le début de l'affaire Telekom qu'il n'a rien à avouer.