Klöden critique le Tour de France
Cyclisme lundi, 30 juil. 2007. 10:29 samedi, 14 déc. 2024. 22:10
BERLIN - L'Allemand Andreas Klöden, dont l'équipe Astana s'est retiré du Tour de France 2007 après le contrôle antidopage positif du Kazakh Alexandre Vinokourov, a comparé les coureurs à des marionnettes dans la guerre entre les organisateurs du Tour et l'Union cycliste internationale.
"Quand j'entends le patron du Tour de France dire que l'UCI veut endommager la crédibilité de l'épreuve et la détruire, j'ai l'impression que nous, les coureurs, nous ne sommes que des marionnettes dans cette lutte d'influences", a expliqué Klöden, au site internet spécialisé radsport-aktiv.
Klöden s'est de nouveau défendu "d'avoir jamais eu recours au dopage", même si des proches comme Jan Ullrich et des coéquipiers comme Vinokourov et Mattias Kessler, sont soupçonnés de dopage ou ont été contrôlés positif.
"Je n'ai jamais été aussi contrôlé dans ma carrière que cette année, je n'ai jamais raté un contrôle (...) tous les cas cités ont aussi été pour moi une sacrée gifle, mais tout le monde clame son innocence et je ne sais plus qui je dois croire", a ajouté l'Allemand, 2e du Tour 2004 et 3e du Tour 2006 qui n'a jamais pris ses distances avec son grand ami Jan Ullrich.
L'ancien coureur de Telekom/T-Mobile qui a rejoint la formation Astana en début d'année, a par ailleurs admis qu'il ne savait pas de quoi serait fait son avenir.
"Je ne sais pas ce qui va se passer avec Astana. Personnellement, j'ai décidé de reprendre l'entraînement une fois passée la déception, après m'être entretenu avec mes proches", a-t-il souligné.
"Je veux essayer de faire partie de l'équipe d'Allemagne pour les Mondiaux-2007 de Stuttgart en septembre et apparaître à mon meilleur niveau devant mes supporteurs", a conclu Klöden qui avait indiqué dimanche qu'il pourrait mettre un terme à sa carrière par peur de la prison.
"Quand j'entends le patron du Tour de France dire que l'UCI veut endommager la crédibilité de l'épreuve et la détruire, j'ai l'impression que nous, les coureurs, nous ne sommes que des marionnettes dans cette lutte d'influences", a expliqué Klöden, au site internet spécialisé radsport-aktiv.
Klöden s'est de nouveau défendu "d'avoir jamais eu recours au dopage", même si des proches comme Jan Ullrich et des coéquipiers comme Vinokourov et Mattias Kessler, sont soupçonnés de dopage ou ont été contrôlés positif.
"Je n'ai jamais été aussi contrôlé dans ma carrière que cette année, je n'ai jamais raté un contrôle (...) tous les cas cités ont aussi été pour moi une sacrée gifle, mais tout le monde clame son innocence et je ne sais plus qui je dois croire", a ajouté l'Allemand, 2e du Tour 2004 et 3e du Tour 2006 qui n'a jamais pris ses distances avec son grand ami Jan Ullrich.
L'ancien coureur de Telekom/T-Mobile qui a rejoint la formation Astana en début d'année, a par ailleurs admis qu'il ne savait pas de quoi serait fait son avenir.
"Je ne sais pas ce qui va se passer avec Astana. Personnellement, j'ai décidé de reprendre l'entraînement une fois passée la déception, après m'être entretenu avec mes proches", a-t-il souligné.
"Je veux essayer de faire partie de l'équipe d'Allemagne pour les Mondiaux-2007 de Stuttgart en septembre et apparaître à mon meilleur niveau devant mes supporteurs", a conclu Klöden qui avait indiqué dimanche qu'il pourrait mettre un terme à sa carrière par peur de la prison.