L'Union cycliste internationale (UCI) a confirmé sa volonté d'obtenir la destruction des prélèvements d'urine effectués lors du Tour de France 2000 aux fins de détection d'un dopage par EPO et congelés depuis dans l'attente de l'hypothétique validation d'un test de dépistage.

Dans une déclaration à l'AFP vendredi, le président de l'UCI Hein Verbruggen a précisé qu'il avait adressé tout récemment une lettre en ce sens à la ministre française de la Jeunesse et des Sports Marie-George Buffet.

Selon les quotidiens français L'Equipe et Le Parisien qui ont révélé vendredi ce nouvel épisode de l'affaire, ce courrier a été envoyé le 22 novembre et le ministère a fait savoir en réponse qu'il n'entendait pas se conformer à cette demande.

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