CHOLET - Salon. Un ancien vainqueur d'étape et porteur du maillot jaune sur le Tour de France va voir la course arriver dans son salon, mardi à Châteauroux.

La ligne d'arrivée se trouve en face du 348 avenue de la Châtre, l'adresse exacte de Marcel Dussault, triple vainqueur d'étape sur les routes du Tour entre 1949 et 1954.

Os. Le Colombien Mauricio Soler a bien pris le départ du contre-la-montre à Cholet malgré un petit os cassé dans la main droite depuis sa chute peu avant l'arrivée de la première étape à Plumelec. Le meilleur grimpeur 2007, qui a fini dans les profondeurs du classement, décidera au jour le jour s'il poursuit l'aventure.

Cannibale. Bruxelles serait en piste pour être ville-étape du Tour de France 2010, qui pourrait partir des Pays-Bas. Selon le quotidien belge La Dernière Heure, ce passage du Tour par la capitale de l'Europe, 18 ans après le dernier, permettrait de fêter les 65 ans d'un certain Eddy Merckx, avec un mois de retard.

Banni. Le vainqueur du Tour d'Italie Alberto Contador, dont l'équipe Astana a été écartée du Tour de France, doit effectuer mercredi et jeudi la reconnaissance des étapes pyrénéennes de la Vuelta. Avec Benjamin Noval, Dani Navarro, Chechu Rubiera et Sergio Paulinho, ses hommes de confiance, il roulera sur les routes qui mènent aux arrivées à Naturlandia-La Rabassa et Pla de Beret. La semaine suivante, c'est l'étape asturienne que Contador compte reconnaître, notamment l'Angliru, qu'il n'a jamais grimpé.

Somnifère. Le jeune et prometteur Néerlandais de l'équipe Garmin Martijn Maaskant est un gros dormeur. "Dans l'équipe, on l'appelle +sleepy Martijn+, il est toujours le dernier à se lever, raconte le directeur sportif Jonathan Vaughters. Mais en course, c'est le contraire, il est bien réveillé ! Il a les yeux grand ouverts et sait lire la course de façon incroyable pour quelqu'un de seulement 24 ans".

Travailleur. L'Italien Paolo Longo, dauphin du maillot jaune Romain Feillu mardi matin à Cholet, est surnommé "Caterpillar" par son mécanicien chez Barloword, Giancarlo Bianchi. "C'est vrai, explique le 4e de l'étape de Nantes, je travaille toujours très dur pendant les courses et j'aime bien aller faire le boulot devant."