La police effectue une descente pendant la course Tirreno-Adriatico
Cyclisme dimanche, 17 mars 2002. 11:25 dimanche, 15 déc. 2024. 04:40
(Source d'image:RDS)
ROME, (AFP) - La garde des finances (police fiscale) et les carabiniers ont effectué dimanche matin une descente dans les chambres d'hôtels de plusieurs coureurs participant à la course cycliste Tirreno-Adriatico, a indiqué l'agence italienne ANSA.
Les forces de l'ordre ont effectué une perquisition vers 05h00 GMT dans les chambres de Davide Rebellin, Fabio Sacchi, Gorazd Stangelj, Davide Casarotto, Stefano Casagranda et Endrio Leoni, selon la même source.
Dans la chambre de Casarotto, les financiers ont trouvé deux pommades accompagnées d'une ordonnance justificative.
Dans celle de Rebellin, l'un des grands favoris de la course, ils ont saisi un produit à inhaler qu'ils ont restitué au coureur, conduit en caserne pour signer un procès verbal.
Tous les coureurs ont été autorisés à prendre le départ de la 4e étape, un contre-la-montre de 12,7 km dans la région de Rieti.
La perquisition a été ordonnée par le procureur de Padoue, Paola Cameran, dans le cadre de la nouvelle loi italienne antidopage. Elle a eu lieu dans des hôtels situés dans la province de Rieti, à une cinquantaine de kilomètre au nord de Rome.
Au cours du dernier tour d'Italie 2001, la brigade anti-stupéfiants des carabiniers (NAS) avait déjà effectué une vaste opération antidopage, sans précédent en Italie. Durant plusieurs heures en pleine nuit, une centaine d'agents avaient passé au crible les chambre de tous les hôtels hébergeant la caravane, dans un climat parfois tendu.
A la suite de cette opération, environ 100 personnes avaient été mises en examen par les parquets de Padoue et de Florence. Plus d'une centaine de produits, dont certains dopants, avaient été mis à la disposition d'un laboratoire.
Certains coureurs ont déjà été interrogés par le procureur de Florence Luigi Bocciolini. L'enquête suit son cours. La commission antidopage du comité olympique italien (CONI) épluche également le dossier de plusieurs coureurs mis à sa disposition par le magistrat.
Les forces de l'ordre ont effectué une perquisition vers 05h00 GMT dans les chambres de Davide Rebellin, Fabio Sacchi, Gorazd Stangelj, Davide Casarotto, Stefano Casagranda et Endrio Leoni, selon la même source.
Dans la chambre de Casarotto, les financiers ont trouvé deux pommades accompagnées d'une ordonnance justificative.
Dans celle de Rebellin, l'un des grands favoris de la course, ils ont saisi un produit à inhaler qu'ils ont restitué au coureur, conduit en caserne pour signer un procès verbal.
Tous les coureurs ont été autorisés à prendre le départ de la 4e étape, un contre-la-montre de 12,7 km dans la région de Rieti.
La perquisition a été ordonnée par le procureur de Padoue, Paola Cameran, dans le cadre de la nouvelle loi italienne antidopage. Elle a eu lieu dans des hôtels situés dans la province de Rieti, à une cinquantaine de kilomètre au nord de Rome.
Au cours du dernier tour d'Italie 2001, la brigade anti-stupéfiants des carabiniers (NAS) avait déjà effectué une vaste opération antidopage, sans précédent en Italie. Durant plusieurs heures en pleine nuit, une centaine d'agents avaient passé au crible les chambre de tous les hôtels hébergeant la caravane, dans un climat parfois tendu.
A la suite de cette opération, environ 100 personnes avaient été mises en examen par les parquets de Padoue et de Florence. Plus d'une centaine de produits, dont certains dopants, avaient été mis à la disposition d'un laboratoire.
Certains coureurs ont déjà été interrogés par le procureur de Florence Luigi Bocciolini. L'enquête suit son cours. La commission antidopage du comité olympique italien (CONI) épluche également le dossier de plusieurs coureurs mis à sa disposition par le magistrat.