La police rend visite à Sinkewitz
Cyclisme jeudi, 2 août 2007. 13:30 jeudi, 12 déc. 2024. 02:47
WIESBADEN, All. - La police allemande a perquisitionné jeudi le domicile de Patrik Sinkewitz, le cycliste détecté positif à la testostérone un mois avant le début du Tour de France.
"Cette perquisition n'indique rien de neuf. C'est dans la logique de l'enquête", a déclaré Michael Lehner, l'avocat de Sinkewitz, accusé de fraude. "M.Sinkewitz n'a rien à cacher et répondra à toutes les questions qui lui seront posées".
Sinkewitz a été limogé mardi par sa formation T-Mobile et il a reconnu avoir utilisé "en secret" un gel de testostérone avant d'avoir été contrôlé positif le 8 juin dernier. Il n'a pas demandé l'analyse de l'échantillon B de ses urines.
Sinkewitz a expliqué qu'il s'est mis du gel sur l'avant-bras lors d'un camp d'entraînement en France, à la veille du contrôle.
"C'est un grosse faute (...) d'avoir utilisé du Testogel", avait déclaré mardi le coureur allemand.
En plus de l'enquête ouverte en Allemagne, Sinkewitz risque deux ans de suspension de la part des autorités sportives. Les commanditaires ont aussi rompu leurs contrats avec le coureur.
"Cette perquisition n'indique rien de neuf. C'est dans la logique de l'enquête", a déclaré Michael Lehner, l'avocat de Sinkewitz, accusé de fraude. "M.Sinkewitz n'a rien à cacher et répondra à toutes les questions qui lui seront posées".
Sinkewitz a été limogé mardi par sa formation T-Mobile et il a reconnu avoir utilisé "en secret" un gel de testostérone avant d'avoir été contrôlé positif le 8 juin dernier. Il n'a pas demandé l'analyse de l'échantillon B de ses urines.
Sinkewitz a expliqué qu'il s'est mis du gel sur l'avant-bras lors d'un camp d'entraînement en France, à la veille du contrôle.
"C'est un grosse faute (...) d'avoir utilisé du Testogel", avait déclaré mardi le coureur allemand.
En plus de l'enquête ouverte en Allemagne, Sinkewitz risque deux ans de suspension de la part des autorités sportives. Les commanditaires ont aussi rompu leurs contrats avec le coureur.