Le Col de l'Izoard pour la fête nationale
Cyclisme dimanche, 13 juil. 2003. 14:23 dimanche, 15 déc. 2024. 09:59
L'ALPE D'HUEZ (AP) - Après le Télégraphe et le Galibier, le peloton du Tour de France s'attaquera, lundi, jour de la fête nationale des Français, à un autre col mythique, l'Izoard, lors de la dernière étape alpestre au programme de l'édition du centenaire.
Longue de 184,5 kilomètres, la liaison Bourg-d'Oisans-Gap sera moins difficile que l'étape de l'Alpe d'Huez, mais proposera aux survivants de la haute montagne de se mesurer à un monument de l'histoire du Tour, l'Izoard et ses 2361 mètres.
Point culminant de la route des Grandes Alpes, l'Izoard, franchi pour la première fois en 1922, est l'un des cols les plus célèbres du Tour, avec le Galibier et le Tourmalet.
Gravi par son versant nord, il relie le Briançonnais au Queyras et offre un paysage magnifique associé pour toujours à l'histoire de la Grande Boucle.
Théâtre d'exploits légendaires, il a permis à Henri Pélissier, Sylvère Maes, Gino Bartali, Fausto Coppi, Eddy Merckx ou encore Bernard Thévenet de marquer l'histoire du cyclisme de leur empreinte.
L'Italie n'étant pas loin, le Giro emprunte parfois ce col, comme en 2000 lors de la renaissance de Marco Pantani.
Lundi, les coureurs devront grimper les 32 kilomètres du Lautaret (2058 mètres) avant de se diriger vers l'Izoard. Cette montée, assez longue, n'est pas très difficile. Jusqu'à Briançon, les gros bras devraient donc pouvoir limiter les dégâts, avant de souffrir.
"Après la vallée qui mène à l'Izoard, le col débute de manière assez raide, ce côté étant peut-être le plus soutenu des deux, même si la pente est toujours régulière", estime l'ancien coureur Thierry Bourguignon.
De l'autre côté du col, le peloton passera devant la stèle Fausto Coppi-Louison Bobet, vainqueurs de cinq tours à eux deux, dans le site grandiose de la Casse déserte.
La fin de parcours est ensuite beaucoup plus facile, avec les côtes de Saint-Apollinaire (2e catégorie) et de la Rochette (3e catégorie) avant la descente vers Gap, qui accueillera le Tour pour la 19e fois de son histoire, mais où la course ne s'était plus arrêtée depuis 1996.
Longue de 184,5 kilomètres, la liaison Bourg-d'Oisans-Gap sera moins difficile que l'étape de l'Alpe d'Huez, mais proposera aux survivants de la haute montagne de se mesurer à un monument de l'histoire du Tour, l'Izoard et ses 2361 mètres.
Point culminant de la route des Grandes Alpes, l'Izoard, franchi pour la première fois en 1922, est l'un des cols les plus célèbres du Tour, avec le Galibier et le Tourmalet.
Gravi par son versant nord, il relie le Briançonnais au Queyras et offre un paysage magnifique associé pour toujours à l'histoire de la Grande Boucle.
Théâtre d'exploits légendaires, il a permis à Henri Pélissier, Sylvère Maes, Gino Bartali, Fausto Coppi, Eddy Merckx ou encore Bernard Thévenet de marquer l'histoire du cyclisme de leur empreinte.
L'Italie n'étant pas loin, le Giro emprunte parfois ce col, comme en 2000 lors de la renaissance de Marco Pantani.
Lundi, les coureurs devront grimper les 32 kilomètres du Lautaret (2058 mètres) avant de se diriger vers l'Izoard. Cette montée, assez longue, n'est pas très difficile. Jusqu'à Briançon, les gros bras devraient donc pouvoir limiter les dégâts, avant de souffrir.
"Après la vallée qui mène à l'Izoard, le col débute de manière assez raide, ce côté étant peut-être le plus soutenu des deux, même si la pente est toujours régulière", estime l'ancien coureur Thierry Bourguignon.
De l'autre côté du col, le peloton passera devant la stèle Fausto Coppi-Louison Bobet, vainqueurs de cinq tours à eux deux, dans le site grandiose de la Casse déserte.
La fin de parcours est ensuite beaucoup plus facile, avec les côtes de Saint-Apollinaire (2e catégorie) et de la Rochette (3e catégorie) avant la descente vers Gap, qui accueillera le Tour pour la 19e fois de son histoire, mais où la course ne s'était plus arrêtée depuis 1996.
