Les GP du Pro Tour ont été un succès
Cyclisme lundi, 13 sept. 2010. 17:15 dimanche, 15 déc. 2024. 14:00
Les Grands Prix cyclistes Pro Tour de Québec et Montréal appartiennent maintenant au passé et l'heure est au bilan.
«L'an un est succès! L'an un est mort et vive l'an deux!», se réjouit l'analyste Louis Bertrand.
On peut dire sans se tromper que la première présence du circuit Pro Tour en Amérique a été un succès. Reçus comme des rois au Québec, les cyclistes retournent en Europe plus que satisfaits.
«Avec ce que les coureurs ont vu et vécu au Canada durant quatre ou cinq jours, ils vont passer le mot à leurs coéquipiers donc on devrait avoir un peloton un peu plus relevé l'an prochain», ajoute Bertrand.
Maintenant que les bases sont solides, il est à souhaiter que le milieu des affaires s'associe à ce grand événement.
«Il n'y a pas de course cycliste sans argent. L'organisateur Serge Arsenault a une entente avec l'Union cycliste internationale pour cinq ans ce qui est très bien, mais il faut ensuite dénicher de l'argent pour organiser la course. M. Arsenault se dit très confiant et nous n'avons aucune raison de douter de sa parole», précise-t-il.
Les amateurs de vélos ont été nombreux tant à Québec qu'à Montréal. Louis Bertrand espère que la présence des meilleurs cyclistes au Québec puisse inspirer la jeunesse.
«Je suis allé aux championnats du monde en 1974 alors que j'avais 15 ans et je n'y connaissais absolument rien. Cet événement a transformé ma vie en quelques secondes dès le premier passage du peloton. J'espère qu'il y avait des jeunes sur le bord de la route qui ont découvert un sport inconnu et qui ont les yeux écarquillés au passage de ce peloton haut en couleur.»
Disputé en même temps que la Vuelta, les courses Pro Tour du Québec risquent de devenir une alternative plus qu'intéressante en prévision des championnats du monde.
D'après un reportage de Luc Bellemare
«L'an un est succès! L'an un est mort et vive l'an deux!», se réjouit l'analyste Louis Bertrand.
On peut dire sans se tromper que la première présence du circuit Pro Tour en Amérique a été un succès. Reçus comme des rois au Québec, les cyclistes retournent en Europe plus que satisfaits.
«Avec ce que les coureurs ont vu et vécu au Canada durant quatre ou cinq jours, ils vont passer le mot à leurs coéquipiers donc on devrait avoir un peloton un peu plus relevé l'an prochain», ajoute Bertrand.
Maintenant que les bases sont solides, il est à souhaiter que le milieu des affaires s'associe à ce grand événement.
«Il n'y a pas de course cycliste sans argent. L'organisateur Serge Arsenault a une entente avec l'Union cycliste internationale pour cinq ans ce qui est très bien, mais il faut ensuite dénicher de l'argent pour organiser la course. M. Arsenault se dit très confiant et nous n'avons aucune raison de douter de sa parole», précise-t-il.
Les amateurs de vélos ont été nombreux tant à Québec qu'à Montréal. Louis Bertrand espère que la présence des meilleurs cyclistes au Québec puisse inspirer la jeunesse.
«Je suis allé aux championnats du monde en 1974 alors que j'avais 15 ans et je n'y connaissais absolument rien. Cet événement a transformé ma vie en quelques secondes dès le premier passage du peloton. J'espère qu'il y avait des jeunes sur le bord de la route qui ont découvert un sport inconnu et qui ont les yeux écarquillés au passage de ce peloton haut en couleur.»
Disputé en même temps que la Vuelta, les courses Pro Tour du Québec risquent de devenir une alternative plus qu'intéressante en prévision des championnats du monde.
D'après un reportage de Luc Bellemare