Les menaces sont disproportionnées
Cyclisme mardi, 4 mars 2008. 14:11 dimanche, 15 déc. 2024. 07:37
PARIS - ASO (Amaury Sport Organisation) a affirmé mardi la légalité de sa course Paris-Nice, qui partira dimanche, et a qualifié les menaces de l'Union cycliste internationale (UCI) de "totalement disproportionnées".
Paris-Nice est "organisée sous l'égide de la Fédération française de cyclisme (FFC) et en accord avec la loi française", a souligné ASO dans un communiqué, en rappelant qu'elle "dispose du soutien du ministère des Sports et de l'Agence française de lutte antidopage (AFLD) pour l'organisation de cette course".
"L'AIGCP (association internationale des équipes) vient de son côté de réaffirmer la volonté des 20 équipes invitées de participer à cette épreuve et a donné son accord sur la convention négociée hier (lundi) dans un esprit constructif", a ajouté le principal organisateur du monde cycliste (Paris-Nice, Tour de France).
Sur le fond, ASO a expliqué demander "deux choses simples": "que Paris-Nice, qui fête cette année ses 75 ans, reste considérée comme une course historique majeure du calendrier mondial (...); qu'ASO soit en mesure, sur le Tour de France, de pouvoir choisir le système de sélection des équipes, à savoir un système ouvert à partir de critères sportifs et éthiques, et non le système fermé et arbitraire des licences prôné par l'UCI dans le cadre du ProTour."
La société présidée par Patrice Clerc a déploré les menaces dont font l'objet les six fédérations européennes, parmi les plus importantes (Italie, France, Espagne, Belgique) en désaccord avec l'UCI au sujet du ProTour sous sa forme actuelle.
"Face à cette situation, l'UCI lance des menaces totalement disproportionnées vis-à-vis des coureurs et des équipes (amendes, suspension, exclusion)", a estimé ASO en ajoutant qu'elle "ne souhaite en rien défier l'autorité de l'UCI mais qu'elle s'attache simplement à assurer le statut d'une épreuve majeure et reconnue comme telle par l'ensemble du monde du cyclisme, y compris par l'UCI, sa réaction violente en atteste".
"ASO déplore que l'UCI, par ses menaces, nuise à la préparation de Paris-Nice, inquiète les sponsors et les coureurs, et contribue ainsi à la détérioration de l'image du cyclisme", conclut le communiqué.
Paris-Nice est "organisée sous l'égide de la Fédération française de cyclisme (FFC) et en accord avec la loi française", a souligné ASO dans un communiqué, en rappelant qu'elle "dispose du soutien du ministère des Sports et de l'Agence française de lutte antidopage (AFLD) pour l'organisation de cette course".
"L'AIGCP (association internationale des équipes) vient de son côté de réaffirmer la volonté des 20 équipes invitées de participer à cette épreuve et a donné son accord sur la convention négociée hier (lundi) dans un esprit constructif", a ajouté le principal organisateur du monde cycliste (Paris-Nice, Tour de France).
Sur le fond, ASO a expliqué demander "deux choses simples": "que Paris-Nice, qui fête cette année ses 75 ans, reste considérée comme une course historique majeure du calendrier mondial (...); qu'ASO soit en mesure, sur le Tour de France, de pouvoir choisir le système de sélection des équipes, à savoir un système ouvert à partir de critères sportifs et éthiques, et non le système fermé et arbitraire des licences prôné par l'UCI dans le cadre du ProTour."
La société présidée par Patrice Clerc a déploré les menaces dont font l'objet les six fédérations européennes, parmi les plus importantes (Italie, France, Espagne, Belgique) en désaccord avec l'UCI au sujet du ProTour sous sa forme actuelle.
"Face à cette situation, l'UCI lance des menaces totalement disproportionnées vis-à-vis des coureurs et des équipes (amendes, suspension, exclusion)", a estimé ASO en ajoutant qu'elle "ne souhaite en rien défier l'autorité de l'UCI mais qu'elle s'attache simplement à assurer le statut d'une épreuve majeure et reconnue comme telle par l'ensemble du monde du cyclisme, y compris par l'UCI, sa réaction violente en atteste".
"ASO déplore que l'UCI, par ses menaces, nuise à la préparation de Paris-Nice, inquiète les sponsors et les coureurs, et contribue ainsi à la détérioration de l'image du cyclisme", conclut le communiqué.