McQuaid s'en prend à l'AFLD
Cyclisme vendredi, 10 avr. 2009. 12:18 jeudi, 12 déc. 2024. 01:46
LONDRES - Le président de l'Union cycliste internationale (UCI), Pat McQuaid, a accusé vendredi l'Agence française de lutte contre le dopage de comportement non professionnel et `perturbateur' pour avoir publié un communiqué indiquant que Lance Armstrong n'avait pas totalement collaboré avec un médecin préleveur lors d'un contrôle antidopage inopiné.
L'AFLD avait annoncé jeudi qu'elle pourrait ouvrir une procédure disciplinaire contre le Texan septuple vainqueur du Tour de France pour ne pas être resté en permanence aux côtés du docteur qui a prélevé son urine, son sang et des cheveux le 17 mars dernier.
Aucun produit dopant n'a été trouvé et l'Américain a démenti tout comportement fautif, indiquant qu'il avait été autorisé à prendre une douche durant 20 minutes après un entraînement à Beaulieu-sur-Mer.
Armstrong nourrit des relations tendues avec l'AFLD depuis des mois mais espère remporter en juillet un huitième Tour de France après trois ans et demi de retraite.
McQuaid a indiqué que la marche à suivre entre les autorités antidopage et l'UCI étaient supposées rester confidentielles jusqu'à ce que `la décision d'ouvrir une procédure ait été prise'.
Armstrong s'entraînait à Beaulieu-sur-Mer quand le contrôle a été effectué. Il a affirmé qu'il rentrait de l'entraînement quand il a trouvé une personne sur son pas de porte se présentant comme un représentant du laboratoire antidopage français.
L'AFLD avait annoncé jeudi qu'elle pourrait ouvrir une procédure disciplinaire contre le Texan septuple vainqueur du Tour de France pour ne pas être resté en permanence aux côtés du docteur qui a prélevé son urine, son sang et des cheveux le 17 mars dernier.
Aucun produit dopant n'a été trouvé et l'Américain a démenti tout comportement fautif, indiquant qu'il avait été autorisé à prendre une douche durant 20 minutes après un entraînement à Beaulieu-sur-Mer.
Armstrong nourrit des relations tendues avec l'AFLD depuis des mois mais espère remporter en juillet un huitième Tour de France après trois ans et demi de retraite.
McQuaid a indiqué que la marche à suivre entre les autorités antidopage et l'UCI étaient supposées rester confidentielles jusqu'à ce que `la décision d'ouvrir une procédure ait été prise'.
Armstrong s'entraînait à Beaulieu-sur-Mer quand le contrôle a été effectué. Il a affirmé qu'il rentrait de l'entraînement quand il a trouvé une personne sur son pas de porte se présentant comme un représentant du laboratoire antidopage français.