Paris/Bruxelles: et de trois pour McEwen
Cyclisme samedi, 9 sept. 2006. 11:35 jeudi, 12 déc. 2024. 12:49
BRUXELLES (AFP) - L'Australien Robbie McEwen (Davitamon) a remporté pour la troisième fois la classique cycliste Paris-Bruxelles en devançant au sprint, samedi à Bruxelles, le Belge Tom Boonen (Quick Step), champion du monde en titre.
Le Néerlandais Steven de Jongh, équipier de Boonen, a pris la troisième place.
"C'est fantastique. Battre Boonen, c'est toujours très spécial", s'enthousiasmait McEwen, déjà vainqueur en 2002 et 2005.
Le champion du monde, Tom Boonen, tentait lui de garder le sourire malgré un dénouement défavorable.
"L'équipe a fait un travail formidable. Nous avons été présents aux avant-postes tout au long de la course mais il a manqué quelque chose dans les derniers mètres. C'est dommage", regrettait le Belge.
Tout s'était déroulé idéalement pour Boonen. Déclenchée dès le premier tiers de course, une échappée de dix hommes prenait rapidement jusqu'à sept minutes d'avance.
Parmi ces attaquants, un équipier de Boonen, le Néerlandais Servais Knaven, mais également le Belge Wim Van Huffel et le Néerlandais Matthe Pronk se montraient très actif.
Mais, le plus souvent face au vent, ces hommes finissaient par fatiguer et laissaient revenir le peloton à une dizaine de kilomètres de l'arrivée.
Le sprint devenait inévitable. La formation Quick Step formait un train en vue d'emmener Tom Boonen. Le champion du monde était cependant laissé seul en tête beaucoup trop loin de la ligne et était finalement débordé par McEwen.
Le Néerlandais Steven de Jongh, équipier de Boonen, a pris la troisième place.
"C'est fantastique. Battre Boonen, c'est toujours très spécial", s'enthousiasmait McEwen, déjà vainqueur en 2002 et 2005.
Le champion du monde, Tom Boonen, tentait lui de garder le sourire malgré un dénouement défavorable.
"L'équipe a fait un travail formidable. Nous avons été présents aux avant-postes tout au long de la course mais il a manqué quelque chose dans les derniers mètres. C'est dommage", regrettait le Belge.
Tout s'était déroulé idéalement pour Boonen. Déclenchée dès le premier tiers de course, une échappée de dix hommes prenait rapidement jusqu'à sept minutes d'avance.
Parmi ces attaquants, un équipier de Boonen, le Néerlandais Servais Knaven, mais également le Belge Wim Van Huffel et le Néerlandais Matthe Pronk se montraient très actif.
Mais, le plus souvent face au vent, ces hommes finissaient par fatiguer et laissaient revenir le peloton à une dizaine de kilomètres de l'arrivée.
Le sprint devenait inévitable. La formation Quick Step formait un train en vue d'emmener Tom Boonen. Le champion du monde était cependant laissé seul en tête beaucoup trop loin de la ligne et était finalement débordé par McEwen.