Rollin savoure le Tour d'Espagne
Cyclisme mercredi, 2 sept. 2009. 12:01 dimanche, 15 déc. 2024. 05:38
Montréal - Provisoirement 36e au classement général à 29 secondes du meneur, le Suisse Fabian Cancellara (Saxo Bank), le Bouchervillois Dominique Rollin (Cervélo Test Team) savoure chaque instant au Tour d'Espagne. Dès jeudi, le peloton sera en terres espagnoles après avoir parcouru les routes des Pays-Bas, de l'Allemagne et de la Belgique.
Après quatre étapes, le Québécois fait un bilan en cette première de deux journées de repos qui ponctueront les trois semaines de course. Ce transfert vers le Sud se fera certainement au grand plaisir de plusieurs après l'étape de mardi qui s'est terminée sous la pluie à Liège (Belgique), où une chute collective est survenue à 2,5 kilomètres de l'arrivée. L'accident impliquant des dizaines de coureurs s'est produit à la sortie d'un rond-point.
« La journée de repos fait du bien après la chute d'hier (mardi). Nous sommes maintenant au chaud en Espagne, alors on en profite un peu », a indiqué Rollin, qui a été impliqué dans la chute. « Nous étions en train de préparer le sprint et le cinquième ou sixième coureur a touché une roue et il est tombé dans un virage où il y avait un peu d'huile sur l'asphalte. Tout le peloton est tombé derrière. En ce qui me concerne, c'est plus de peur que de mal. Nous avons été chanceux, car nous sommes cinq gars de l'équipe qui sont tombés et personne n'a rien eu, comparativement à d'autres qui se sont cassé la clavicule par exemple. »
Selon Rollin, les incidents devraient être plus rares au cours des prochaines étapes, notamment parce que les coureurs espagnols seront plus à l'aise sur des routes qu'ils connaissent mieux.
« La course était très nerveuse dans les trois premiers jours, car les coureurs espagnols ne sont pas habitués aux routes étroites, où il y a des dos d'âne et des ronds-points », a poursuivi Rollin en entrevue à Sportcom, ajoutant qu'il n'avait jamais vu autant de spectateurs sur le bord des routes. « J'ai eu ma part de malchance avant-hier (lundi) lorsque ma roue avant a explosé à 8 kilomètres de l'arrivée et je n'ai donc pas pu faire le sprint. »
L'athlète de 26 ans prédit d'autres arrivées au sprint où il pourra se démarquer avant la première étape de montagne prévue dimanche. C'est après cette étape que Rollin aura une meilleure idée des efforts qu'il devra déployer pour rallier l'arrivée à Madrid, le 20 septembre.
« Il n'y a que quatre jours de course de passés, dont un prologue, alors je ne suis pas encore dans une zone de fatigue que je n'ai jamais vécue. En fait, c'est plutôt inhabituel pour moi d'avoir une journée de repos après quatre jours de course. Je me sens bien et je récupère bien à tous les jours. C'est plus une fois que nous attaquerons les hautes montagnes que je risque d'avoir des surprises. »
La cinquième étape sera présentée ente Tarragona et Vinaros sur une distance de 174 kilomètres.
Après quatre étapes, le Québécois fait un bilan en cette première de deux journées de repos qui ponctueront les trois semaines de course. Ce transfert vers le Sud se fera certainement au grand plaisir de plusieurs après l'étape de mardi qui s'est terminée sous la pluie à Liège (Belgique), où une chute collective est survenue à 2,5 kilomètres de l'arrivée. L'accident impliquant des dizaines de coureurs s'est produit à la sortie d'un rond-point.
« La journée de repos fait du bien après la chute d'hier (mardi). Nous sommes maintenant au chaud en Espagne, alors on en profite un peu », a indiqué Rollin, qui a été impliqué dans la chute. « Nous étions en train de préparer le sprint et le cinquième ou sixième coureur a touché une roue et il est tombé dans un virage où il y avait un peu d'huile sur l'asphalte. Tout le peloton est tombé derrière. En ce qui me concerne, c'est plus de peur que de mal. Nous avons été chanceux, car nous sommes cinq gars de l'équipe qui sont tombés et personne n'a rien eu, comparativement à d'autres qui se sont cassé la clavicule par exemple. »
Selon Rollin, les incidents devraient être plus rares au cours des prochaines étapes, notamment parce que les coureurs espagnols seront plus à l'aise sur des routes qu'ils connaissent mieux.
« La course était très nerveuse dans les trois premiers jours, car les coureurs espagnols ne sont pas habitués aux routes étroites, où il y a des dos d'âne et des ronds-points », a poursuivi Rollin en entrevue à Sportcom, ajoutant qu'il n'avait jamais vu autant de spectateurs sur le bord des routes. « J'ai eu ma part de malchance avant-hier (lundi) lorsque ma roue avant a explosé à 8 kilomètres de l'arrivée et je n'ai donc pas pu faire le sprint. »
L'athlète de 26 ans prédit d'autres arrivées au sprint où il pourra se démarquer avant la première étape de montagne prévue dimanche. C'est après cette étape que Rollin aura une meilleure idée des efforts qu'il devra déployer pour rallier l'arrivée à Madrid, le 20 septembre.
« Il n'y a que quatre jours de course de passés, dont un prologue, alors je ne suis pas encore dans une zone de fatigue que je n'ai jamais vécue. En fait, c'est plutôt inhabituel pour moi d'avoir une journée de repos après quatre jours de course. Je me sens bien et je récupère bien à tous les jours. C'est plus une fois que nous attaquerons les hautes montagnes que je risque d'avoir des surprises. »
La cinquième étape sera présentée ente Tarragona et Vinaros sur une distance de 174 kilomètres.