Tous les contrôles antidopages négatifs, selon l'UCI
Cyclisme mercredi, 17 juil. 2002. 13:19 dimanche, 15 déc. 2024. 16:34
PAU (AP) - L'Union cycliste internationale (UCI) a annoncé, mercredi, que tous les contrôles antidopages menés depuis le départ du Tour de France, le 6 juillet à Luxembourg, sont négatifs.
"A la suite des informations parues ce matin (mercredi) dans la presse concernant le porteur du maillot jaune Igor Gonzalez de Galdeano (Once), l'Union cycliste internationale confirme que tous les contrôles antidopages effectués sur le Tour de France jusqu'au 12 juillet sont négatifs, y compris sur la détection de l'EPO", indique-t-on dans un communiqué.
Le journal "L'Equipe" avait annoncé mercredi que le maillot jaune avait été contrôlé non négatif au salbutamol, un produit soignant l'asthme, considéré comme stimulant à faible dose, comme anabolisant à dose plus massive.
Le salbutamol, qui appartient à la famille des béta 2 mimétiques, est autorisé par inhalation et uniquement en cas de prescription thérapeutique.
"Pour le salbutamol, une concentration dans l'urine supérieure à 1000 nanogrammes sera considérée comme un résultat positif dans la catégorie des agents anabolisants", indique le réglement de l'UCI. Mais Igor Gonzalez de Galdeano, qui présentait selon "L'Equipe" une concentration de 1360 nanogrammes par millilitre lors d'un contrôle effectué à l'arrivée de la sixième étape du Tour à Alençon, le 12 juillet dernier, possède bien une justification médicale.
"L'UCI tient à préciser que les coureurs ayant utilisé du salbutamol ont dans leur livret de santé une justification thérapeutique validée par l'UCI, comme l'autorise son réglement", indique le communiqué de l'UCI.
"Mon intime conviction est qu'il n'y a rien de rien", avait déclaré Daniel Baal, le directeur adjoint du Tour de France, joint par l'Associated Press le matin, "car le salbutamol est autorisé sur prescription médicale, et l'UCI possède une justification thérapeutique pour ce coureur depuis longtemps.
"Ce seuil introduit par l'UCI a pour but de pouvoir étalonner la sanction des compétiteurs pris au salbutamol sans justification médicale, ajoute Daniel Baal, qui a été vice-président de l'UCI. En dessous de 1000 nanogrammes, on considère qu'ils sont positifs aux stimulants. Au-dessus, on estime qu'ils sont positifs aux anabolisants."
"Il n'y a rien", a déclaré furieux Manolo Saiz, le directeur sportif de la Once, au départ de Bazas où ses coureurs se sont rendus à vélo, le visage fermé.
"A la suite des informations parues ce matin (mercredi) dans la presse concernant le porteur du maillot jaune Igor Gonzalez de Galdeano (Once), l'Union cycliste internationale confirme que tous les contrôles antidopages effectués sur le Tour de France jusqu'au 12 juillet sont négatifs, y compris sur la détection de l'EPO", indique-t-on dans un communiqué.
Le journal "L'Equipe" avait annoncé mercredi que le maillot jaune avait été contrôlé non négatif au salbutamol, un produit soignant l'asthme, considéré comme stimulant à faible dose, comme anabolisant à dose plus massive.
Le salbutamol, qui appartient à la famille des béta 2 mimétiques, est autorisé par inhalation et uniquement en cas de prescription thérapeutique.
"Pour le salbutamol, une concentration dans l'urine supérieure à 1000 nanogrammes sera considérée comme un résultat positif dans la catégorie des agents anabolisants", indique le réglement de l'UCI. Mais Igor Gonzalez de Galdeano, qui présentait selon "L'Equipe" une concentration de 1360 nanogrammes par millilitre lors d'un contrôle effectué à l'arrivée de la sixième étape du Tour à Alençon, le 12 juillet dernier, possède bien une justification médicale.
"L'UCI tient à préciser que les coureurs ayant utilisé du salbutamol ont dans leur livret de santé une justification thérapeutique validée par l'UCI, comme l'autorise son réglement", indique le communiqué de l'UCI.
"Mon intime conviction est qu'il n'y a rien de rien", avait déclaré Daniel Baal, le directeur adjoint du Tour de France, joint par l'Associated Press le matin, "car le salbutamol est autorisé sur prescription médicale, et l'UCI possède une justification thérapeutique pour ce coureur depuis longtemps.
"Ce seuil introduit par l'UCI a pour but de pouvoir étalonner la sanction des compétiteurs pris au salbutamol sans justification médicale, ajoute Daniel Baal, qui a été vice-président de l'UCI. En dessous de 1000 nanogrammes, on considère qu'ils sont positifs aux stimulants. Au-dessus, on estime qu'ils sont positifs aux anabolisants."
"Il n'y a rien", a déclaré furieux Manolo Saiz, le directeur sportif de la Once, au départ de Bazas où ses coureurs se sont rendus à vélo, le visage fermé.