Ullrich continue de nier
Cyclisme lundi, 9 avr. 2007. 11:30 jeudi, 12 déc. 2024. 09:29
BERLIN - Jan Ullrich a de nouveau démenti s'être dopé en dépit des analyses de son ADN ayant démontré que certaines des poches de sang saisies en Espagne dans la cadre de l'Opération Puerto lui appartenaient.
Le vainqueur du Tour de France 1997 a pris sa retraite le 26 février, 10 mois après avoir été impliqué dans l'Opération Puerto, une affaire présumée de dopage sanguin de grande envergure. Il n'avait pas été autorisé à prendre le départ de la dernière édition du Tour de France en raison des soupçons qui pesaient sur lui.
Le cycliste allemand, dans un communiqué publié dimanche sur son site internet, a affirmé que les informations sur l'affaire avaient été "partiellement manipulées dans le but de détruire sa réputation".
"J'ai la conscience propre et les derniers événements et rapports n'ont pas changé ça, a déclaré Ullrich. Tout au long de ma carrière je n'ai jamais menti ou utilisé des gens. Je ne peux pas admettre une erreur quand il n'y a pas d'erreur."
Le procureur de Bonn chargé de l'enquête, Fred Apostel, a déclaré lundi que ses services attendaient désormais que les autorités suisses leur transmettent les résultats d'une perquisition effectuée dans la résidence d'Ullrich l'an dernier.
Ullrich a ajouté qu'il répondrait aux questions soulevées par la comparaison ADN, mais pas dans l'immédiat.
"Je ne crains aucune enquête, aucun procureur et aucune organisation, a affirmé Ullrich. Pour moi aussi, il y a beaucoup de questions sans réponse. Jusqu'à ce que mon cas soit complètement réglé, je n'en parlerai pas publiquement, particulièrement pas sous des pressions extérieures."
Le vainqueur du Tour de France 1997 a pris sa retraite le 26 février, 10 mois après avoir été impliqué dans l'Opération Puerto, une affaire présumée de dopage sanguin de grande envergure. Il n'avait pas été autorisé à prendre le départ de la dernière édition du Tour de France en raison des soupçons qui pesaient sur lui.
Le cycliste allemand, dans un communiqué publié dimanche sur son site internet, a affirmé que les informations sur l'affaire avaient été "partiellement manipulées dans le but de détruire sa réputation".
"J'ai la conscience propre et les derniers événements et rapports n'ont pas changé ça, a déclaré Ullrich. Tout au long de ma carrière je n'ai jamais menti ou utilisé des gens. Je ne peux pas admettre une erreur quand il n'y a pas d'erreur."
Le procureur de Bonn chargé de l'enquête, Fred Apostel, a déclaré lundi que ses services attendaient désormais que les autorités suisses leur transmettent les résultats d'une perquisition effectuée dans la résidence d'Ullrich l'an dernier.
Ullrich a ajouté qu'il répondrait aux questions soulevées par la comparaison ADN, mais pas dans l'immédiat.
"Je ne crains aucune enquête, aucun procureur et aucune organisation, a affirmé Ullrich. Pour moi aussi, il y a beaucoup de questions sans réponse. Jusqu'à ce que mon cas soit complètement réglé, je n'en parlerai pas publiquement, particulièrement pas sous des pressions extérieures."