Une autre demande d'Ullrich refusée
Cyclisme mardi, 12 juin 2007. 10:35 samedi, 14 déc. 2024. 21:47
BERLIN - Le gouvernement allemand a indiqué mardi avoir refusé de donner suite à une demande de rencontre entre la chancelière Angela Merkel et Jan Ullrich, formulée par ce dernier afin de "réhabiliter sa réputation" en plein scandale sur le dopage qui secoue le cyclisme allemand.
Le porte-parole adjoint du gouvernement Thomas Steg a indiqué à l'hebdomadaire sportif Sportbild à paraître mercredi qu'"une rencontre (entre la chancelière et) Jan Ullrich ne rentre pas en ligne de compte".
Un ami et partenaire commercial d'Ullrich, Michael Stehle, avait envoyé un courriel à la chancellerie pour inviter Angela Merkel au bord du Lac de Constance (sud-ouest de l'Allemagne), alors que le seul vainqueur allemand du Tour de France (1997), âgé de 33 ans, vit sur la rive suisse du lac.
M. Stehle a confirmé ce geste auprès de Sportbild en expliquant: "Nous sommes désormais convaincus qu'il faut s'approcher de gens qui peuvent faire bouger les choses. Comme Mme Merkel".
Ullrich, qui a mis un terme à sa carrière en février à la suite de sa mise en cause dans l'affaire Puerto, est l'un des derniers anciens de l'équipe allemande Telekom (renommée T-Mobile) à nier toute implication dans le scandale de dopage qui agite le cyclisme allemand.
Sept de ses anciens coéquipiers, dont le Danois Bjarne Riis, vainqueur du Tour de France 1996, et le sprinteur allemand Erik Zabel, ont admis avoir utilisé de l'EPO dans les années 1990.
Le porte-parole adjoint du gouvernement Thomas Steg a indiqué à l'hebdomadaire sportif Sportbild à paraître mercredi qu'"une rencontre (entre la chancelière et) Jan Ullrich ne rentre pas en ligne de compte".
Un ami et partenaire commercial d'Ullrich, Michael Stehle, avait envoyé un courriel à la chancellerie pour inviter Angela Merkel au bord du Lac de Constance (sud-ouest de l'Allemagne), alors que le seul vainqueur allemand du Tour de France (1997), âgé de 33 ans, vit sur la rive suisse du lac.
M. Stehle a confirmé ce geste auprès de Sportbild en expliquant: "Nous sommes désormais convaincus qu'il faut s'approcher de gens qui peuvent faire bouger les choses. Comme Mme Merkel".
Ullrich, qui a mis un terme à sa carrière en février à la suite de sa mise en cause dans l'affaire Puerto, est l'un des derniers anciens de l'équipe allemande Telekom (renommée T-Mobile) à nier toute implication dans le scandale de dopage qui agite le cyclisme allemand.
Sept de ses anciens coéquipiers, dont le Danois Bjarne Riis, vainqueur du Tour de France 1996, et le sprinteur allemand Erik Zabel, ont admis avoir utilisé de l'EPO dans les années 1990.