Vinokourov congédié
Cyclisme lundi, 30 juil. 2007. 08:41 jeudi, 12 déc. 2024. 00:04
GENEVE - Le coureur kazakh Alexandre Vinokourov a été licencié par l'équipe Astana à la suite de la contre-expertise ayant confirmé un premier test antidopage positif, a annoncé son employeur lundi, au lendemain de l'arrivée du Tour de France.
Vinokourov avait été disqualifié de la course avec l'ensemble de son équipe la semaine dernière pour avoir reçu une transfusion sanguine homologue à l'issue de sa victoire dans le contre-la-montre d'Albi lors de la 13e étape, a rappelé l'attachée de presse d'Astana, Corinne Druey.
Il a été remercié par Astana car l'analyse de son échantillon B a confirmé celle du premier test.
Le coureur, qui figurait parmi les favoris avant le départ du Tour 2007, risque une suspension de deux ans et il pourrait perdre une année de salaire en vertu de la charte antidopage de l'Union cycliste internationale (UCI).
Le Kazakh n'a cessé de clamer son innocence, affirmant samedi qu'il avait "toujours couru en respectant les règles" et qu'il se battrait contre les accusations de dopage.
"Avant le Tour de France 2007, je n'avais jamais été accusé de violation de loi contre le dopage, a-t-il dit dans un communiqué. J'ai été testé au moins 100 fois pendant ma carrière. Ces résultats n'ont aucun sens. Avec toute l'attention autour du dopage, il faudrait être fou pour faire ce qu'on m'accuse d'avoir fait, et je ne suis pas fou."
Le départ de la course de Vinokourov et de sa formation cycliste, à la demande des organisateurs, a été l'un des épisodes noirs de la 94e Grande Boucle, plombée par des affaires de dopage et des suspicions en série.
A quatre jours de l'arrivée sur les Champs-Elysées, le maillot jaune Michael Rasmussen a quitté la course, contraint de se retirer par les commanditaires de son équipe Rabobank. Selon le porte-parole de Rabobank, le coureur danois a fourni au directeur sportif de son équipe des informations "incorrectes" sur sa localisation le mois dernier: le coureur, qui avait échappé à des contrôles antidopage inopinés les 8 mai et 28 juin, avait affirmé à tort qu'il se trouvait au Mexique lors de sa préparation en juin.
Le même jour que Rasmussen, l'équipe Cofidis a plié bagages, après l'annonce du contrôle positif à la testostérone de son coureur italien Cristian Moreni.
Vinokourov avait été disqualifié de la course avec l'ensemble de son équipe la semaine dernière pour avoir reçu une transfusion sanguine homologue à l'issue de sa victoire dans le contre-la-montre d'Albi lors de la 13e étape, a rappelé l'attachée de presse d'Astana, Corinne Druey.
Il a été remercié par Astana car l'analyse de son échantillon B a confirmé celle du premier test.
Le coureur, qui figurait parmi les favoris avant le départ du Tour 2007, risque une suspension de deux ans et il pourrait perdre une année de salaire en vertu de la charte antidopage de l'Union cycliste internationale (UCI).
Le Kazakh n'a cessé de clamer son innocence, affirmant samedi qu'il avait "toujours couru en respectant les règles" et qu'il se battrait contre les accusations de dopage.
"Avant le Tour de France 2007, je n'avais jamais été accusé de violation de loi contre le dopage, a-t-il dit dans un communiqué. J'ai été testé au moins 100 fois pendant ma carrière. Ces résultats n'ont aucun sens. Avec toute l'attention autour du dopage, il faudrait être fou pour faire ce qu'on m'accuse d'avoir fait, et je ne suis pas fou."
Le départ de la course de Vinokourov et de sa formation cycliste, à la demande des organisateurs, a été l'un des épisodes noirs de la 94e Grande Boucle, plombée par des affaires de dopage et des suspicions en série.
A quatre jours de l'arrivée sur les Champs-Elysées, le maillot jaune Michael Rasmussen a quitté la course, contraint de se retirer par les commanditaires de son équipe Rabobank. Selon le porte-parole de Rabobank, le coureur danois a fourni au directeur sportif de son équipe des informations "incorrectes" sur sa localisation le mois dernier: le coureur, qui avait échappé à des contrôles antidopage inopinés les 8 mai et 28 juin, avait affirmé à tort qu'il se trouvait au Mexique lors de sa préparation en juin.
Le même jour que Rasmussen, l'équipe Cofidis a plié bagages, après l'annonce du contrôle positif à la testostérone de son coureur italien Cristian Moreni.