Wiesenhof va quitter le cyclisme
Cyclisme jeudi, 24 mai 2007. 09:56 samedi, 14 déc. 2024. 03:47
BERLIN - Le groupe Wiesenhof, parraineur d'une formation allemande du circuit Continental, a annoncé jeudi qu'il se désengagera du cyclisme professionnel fin 2007, suite aux récentes révélations sur le dopage.
"Le cadre actuel et l'évolution du cyclisme professionnel nous incitent à prendre la décision" de quitter le cyclisme, a expliqué dans un communiqué Peter Wesjohann, dirigeant du groupe spécialisé dans la volaille.
Wiesenhof est considéré comme la troisième plus importante formation allemande après T-Mobile et Gerolsteiner qui disposent, elles, d'une licence ProTour, l'équivalent de la 1re division du cyclisme.
Wiesenhof était devenu en 2006 le partenaire principale de l'équipe connue jusque-là sous le nom d'Akud, avec pour ambition d'entrer sur le circuit ProTour en 2008.
Formée essentiellement de coureurs allemands, Wiesenhof était jusqu'à 2006 l'équipe du grand espoir Gerald Ciolek, champion d'Allemagne 2005 et champion du monde Espoirs 2006, qui a rejoint cette année T-Mobile.
Elle emploie cette saison seize coureurs, dont Olaf Pollack et le Suisse Steffen Wesemann, anciens de T-Mobile.
"Le cadre actuel et l'évolution du cyclisme professionnel nous incitent à prendre la décision" de quitter le cyclisme, a expliqué dans un communiqué Peter Wesjohann, dirigeant du groupe spécialisé dans la volaille.
Wiesenhof est considéré comme la troisième plus importante formation allemande après T-Mobile et Gerolsteiner qui disposent, elles, d'une licence ProTour, l'équivalent de la 1re division du cyclisme.
Wiesenhof était devenu en 2006 le partenaire principale de l'équipe connue jusque-là sous le nom d'Akud, avec pour ambition d'entrer sur le circuit ProTour en 2008.
Formée essentiellement de coureurs allemands, Wiesenhof était jusqu'à 2006 l'équipe du grand espoir Gerald Ciolek, champion d'Allemagne 2005 et champion du monde Espoirs 2006, qui a rejoint cette année T-Mobile.
Elle emploie cette saison seize coureurs, dont Olaf Pollack et le Suisse Steffen Wesemann, anciens de T-Mobile.