Zabel espère être sélectionné
Cyclisme lundi, 13 août 2007. 12:54 samedi, 14 déc. 2024. 21:36
SINGEN, Allemagne - L'Allemand Erik Zabel, vice-champion du monde 2004 et 2006, a admis lundi en marge du Tour d'Allemagne qu'il espérait encore faire partie de la sélection allemande pour les Championnats du monde de Stuttgart (26-30 sept) en dépit de ses récents aveux de dopage.
"Si je suis retenu, c'est clair que je ne vais pas dire non", a souligné Zabel, 37 ans.
Une décision sera prise fin août par la Fédération allemande (BDR), dont le réglement prévoit que tout athlète soupçonné ou coupable de dopage ne peut plus représenter son pays dans de grands championnats.
"Les deux semaines qui viennent sont des semaines capitales pour la suite de ma carrière", a insisté le sextuple vainqueur du classement aux points du Tour de France qui a admis avoir utilisé de l'EPO pour préparer le Tour de France 1996.
Après ses aveux en mai, son équipe, Milram, l'a autorisé à terminer la saison en précisant qu'elle décidera plus tard s'il pourra honorer son contrat, expirant fin 2008.
La formation italienne, dont l'autre leader Alessandro Petacchi a fait l'objet d'un contrôle antidopage positif au salbutamol, avant d'être acquitté, doit également se prononcer sur la poursuite de son engagement dans le cyclisme, prévu initialement jusqu'à 2009.
"Cela serait une défaite si ce projet était interrompu avant son terme (...) Je me sens bien dans cette équipe", a souligné le sprinteur, toujours très populaire en Allemagne malgré ses aveux.
Zabel a balayé, en cas de licenciement par Milram, l'idée d'un retour chez T-Mobile: "La dernière fois que j'étais chez T-Mobile, c'était le 24 mai, ce n'était pas un jour facile. Mais en cyclisme, il ne faut jamais dire jamais".
Vainqueur de la troisième étape du Tour d'Allemagne dimanche, Zabel compte désormais 199 succès dans des épreuves homologués par l'Union cycliste internationale: "Atteindre le chiffre de 200 serait bien, mais cela ne va pas empêcher la Terre de tourner, c'est plus une satisfaction personnelle", a-t-il conclu.
"Si je suis retenu, c'est clair que je ne vais pas dire non", a souligné Zabel, 37 ans.
Une décision sera prise fin août par la Fédération allemande (BDR), dont le réglement prévoit que tout athlète soupçonné ou coupable de dopage ne peut plus représenter son pays dans de grands championnats.
"Les deux semaines qui viennent sont des semaines capitales pour la suite de ma carrière", a insisté le sextuple vainqueur du classement aux points du Tour de France qui a admis avoir utilisé de l'EPO pour préparer le Tour de France 1996.
Après ses aveux en mai, son équipe, Milram, l'a autorisé à terminer la saison en précisant qu'elle décidera plus tard s'il pourra honorer son contrat, expirant fin 2008.
La formation italienne, dont l'autre leader Alessandro Petacchi a fait l'objet d'un contrôle antidopage positif au salbutamol, avant d'être acquitté, doit également se prononcer sur la poursuite de son engagement dans le cyclisme, prévu initialement jusqu'à 2009.
"Cela serait une défaite si ce projet était interrompu avant son terme (...) Je me sens bien dans cette équipe", a souligné le sprinteur, toujours très populaire en Allemagne malgré ses aveux.
Zabel a balayé, en cas de licenciement par Milram, l'idée d'un retour chez T-Mobile: "La dernière fois que j'étais chez T-Mobile, c'était le 24 mai, ce n'était pas un jour facile. Mais en cyclisme, il ne faut jamais dire jamais".
Vainqueur de la troisième étape du Tour d'Allemagne dimanche, Zabel compte désormais 199 succès dans des épreuves homologués par l'Union cycliste internationale: "Atteindre le chiffre de 200 serait bien, mais cela ne va pas empêcher la Terre de tourner, c'est plus une satisfaction personnelle", a-t-il conclu.