Fazekas nie avoir triché
Jeux olympiques mercredi, 25 août 2004. 09:29 dimanche, 15 déc. 2024. 15:03
BUDAPEST (AFP) - Le discobole hongrois Robert Fazekas, privé mardi de sa médaille d'or du lancer du disque et exclu des JO-2004 pour n'avoir pas pu ou voulu satisfaire à un contrôle antidopage, prétend ne pas avoir triché dans un communiqué reçu à Budapest.
"Je n'ai pas triché !", affirme Robert Fazekas dans un communiqué de presse publié mercredi, alors qu'il était en route d'Athènes vers sa ville de Szombathely (220 km à l'ouest de Budapest). "Ceux qui connaissent comment se déroule un contrôle antidopage savent que c'est tout à fait impossible de tricher", ajoute-t-il, amer en rappelant que les protocoles du contrôle ne mentionnent pas de tricheries.
Il reconnaît ne pas avoir donné assez d'urine, mais affirme que le petit échantillon était négatif "comme les centaines d'autres donnés auparavant".
Fazekas indique également qu'il fera appel à la décision et qu'en cas d'échec, il envisage de mettre fin à sa carrière sportive.
Suspecté d'avoir fourni un faux échantillon urinaire (contenu dans un réservoir dissimulé sur le corps), il a été sanctionné pour "avoir refusé de satisfaire au prélèvement de l'échantillon (d'urine) ou de ne pas y être parvenu", selon le compte rendu détaillé, publié mercredi, de la décision du Comité international olympique (CIO).
D'après le règlement antidopage, la dose minimum exigée est de 75 millilitres et Fazekas n'en a fourni que 25.
Remerciant de leur soutien les supporteurs hongrois, le discobole a aussi annoncé une conférence de presse à Szombathely pour jeudi 14h00 locales (12h00 GMT).
Plus fataliste, le président du Comité olympique hongrois, Pal Schmidt, qui est également membre de la CIO, a de son côté déclaré: "Selon mes informations, l'échantillon en question n'a pas été examiné, mais le fait est que sans parler de dopage, Fazekas n'a pas respecté les règles à 100%, et ceci est suffisant pour se faire éliminer".
"Je n'ai pas triché !", affirme Robert Fazekas dans un communiqué de presse publié mercredi, alors qu'il était en route d'Athènes vers sa ville de Szombathely (220 km à l'ouest de Budapest). "Ceux qui connaissent comment se déroule un contrôle antidopage savent que c'est tout à fait impossible de tricher", ajoute-t-il, amer en rappelant que les protocoles du contrôle ne mentionnent pas de tricheries.
Il reconnaît ne pas avoir donné assez d'urine, mais affirme que le petit échantillon était négatif "comme les centaines d'autres donnés auparavant".
Fazekas indique également qu'il fera appel à la décision et qu'en cas d'échec, il envisage de mettre fin à sa carrière sportive.
Suspecté d'avoir fourni un faux échantillon urinaire (contenu dans un réservoir dissimulé sur le corps), il a été sanctionné pour "avoir refusé de satisfaire au prélèvement de l'échantillon (d'urine) ou de ne pas y être parvenu", selon le compte rendu détaillé, publié mercredi, de la décision du Comité international olympique (CIO).
D'après le règlement antidopage, la dose minimum exigée est de 75 millilitres et Fazekas n'en a fourni que 25.
Remerciant de leur soutien les supporteurs hongrois, le discobole a aussi annoncé une conférence de presse à Szombathely pour jeudi 14h00 locales (12h00 GMT).
Plus fataliste, le président du Comité olympique hongrois, Pal Schmidt, qui est également membre de la CIO, a de son côté déclaré: "Selon mes informations, l'échantillon en question n'a pas été examiné, mais le fait est que sans parler de dopage, Fazekas n'a pas respecté les règles à 100%, et ceci est suffisant pour se faire éliminer".