D. Tate cause des soucis aux Eskimos
Football vendredi, 11 nov. 2011. 17:33 vendredi, 13 déc. 2024. 23:56
EDMONTON - Avant que les Eskimos d'Edmonton puissent battre le quart des Stampeders de Calgary Drew Tate en demi-finale de l'Ouest, ils devront d'abord le cerner.
Ils devront apprendre sur le tas.
Le Texan de 27 ans présente un dossier de 3-0 depuis qu'il a remplacé le vétéran Henry Burris. Il s'agira de son premier départ contre les Eskimos dimanche au stade du Commonwealth.
«Si on vous disait que nous ne sommes pas inquiets ni anxieux, ce serait vous compter un mensonge», a confié l'entraîneur-chef des Eskimos Kavis Reed. «On n'a pas assez d'information (sur lui), et les entraîneurs sont plus à l'aise lorsque nous disposons d'un registre complet sur les joueurs.»
«Nous savons qu'il est précis. Nous savons que ses choix sont époustouflants. Nous savons qu'il se déplace très bien à l'intérieur de la pochette protectrice.»
Tate a obtenu sa chance de briller après des années de galère entre les Stampeders, les Roughriders de la Saskatchewan et les Rams de St. Louis dans la NFL.
Ce que les Eskimos savent du quart de six pieds, 190 livres, c'est que si vous lui donnez du temps, alors il pourra ridiculiser votre défensive en décochant des passes précises, même si ses receveurs sont couverts dans la zone secondaire.
«Il n'a de toute évidence pas peur de prendre des chances, a confié le quart des Eskimos Ricky Ray. Je l'ai déjà vu décocher des passes derrière la tertiaire après avoir observé des ouvertures qu'il aimait.
«C'est ce que nous devrons surveiller.»
Lors de ses trois victoires, Tate a complété 66 pour cent de ses passes pour 791 verges de gains et quatre touchés, contre cinq interceptions cependant.
«Ce n'est pas un quart semblable à Henry Burris qui peut lancer une passe de 80 verges sur son pied arrière ou sortir de la pochette protectrice pour rejoindre un receveur de passes à l'autre bout du terrain, a mentionné Ray. C'est de toute évidence un gars qui préfère prévoir les choses, anticiper, distribuer le ballon de cette façon.»
Le secondeur des Eskimos Rod Davis a indiqué que si Tate pouvait placer ses pieds de façon à effectuer sa passe, alors les Eskimos connaîtraient un après-midi particulièrement long.
«Je ne dirais pas qu'il est une boîte à surprises, mais quand vous pouvez compter sur un quart qui n'a pas peur de commettre une erreur, alors vous comptez sur tout un quart-arrière, a dit Davis. Nous devons simplement lui mettre de la pression sur les épaules rapidement et le sortir de sa zone de confort.
«Ce n'est pas une recrue, mais nous devrons simplement le forcer à commettre des erreurs tôt dans le match.»
C'est peut-être évident pour l'entraîneur Davis, mais ce pourrait être une tâche ardue pour ses joueurs dimanche.
Ils devront apprendre sur le tas.
Le Texan de 27 ans présente un dossier de 3-0 depuis qu'il a remplacé le vétéran Henry Burris. Il s'agira de son premier départ contre les Eskimos dimanche au stade du Commonwealth.
«Si on vous disait que nous ne sommes pas inquiets ni anxieux, ce serait vous compter un mensonge», a confié l'entraîneur-chef des Eskimos Kavis Reed. «On n'a pas assez d'information (sur lui), et les entraîneurs sont plus à l'aise lorsque nous disposons d'un registre complet sur les joueurs.»
«Nous savons qu'il est précis. Nous savons que ses choix sont époustouflants. Nous savons qu'il se déplace très bien à l'intérieur de la pochette protectrice.»
Tate a obtenu sa chance de briller après des années de galère entre les Stampeders, les Roughriders de la Saskatchewan et les Rams de St. Louis dans la NFL.
Ce que les Eskimos savent du quart de six pieds, 190 livres, c'est que si vous lui donnez du temps, alors il pourra ridiculiser votre défensive en décochant des passes précises, même si ses receveurs sont couverts dans la zone secondaire.
«Il n'a de toute évidence pas peur de prendre des chances, a confié le quart des Eskimos Ricky Ray. Je l'ai déjà vu décocher des passes derrière la tertiaire après avoir observé des ouvertures qu'il aimait.
«C'est ce que nous devrons surveiller.»
Lors de ses trois victoires, Tate a complété 66 pour cent de ses passes pour 791 verges de gains et quatre touchés, contre cinq interceptions cependant.
«Ce n'est pas un quart semblable à Henry Burris qui peut lancer une passe de 80 verges sur son pied arrière ou sortir de la pochette protectrice pour rejoindre un receveur de passes à l'autre bout du terrain, a mentionné Ray. C'est de toute évidence un gars qui préfère prévoir les choses, anticiper, distribuer le ballon de cette façon.»
Le secondeur des Eskimos Rod Davis a indiqué que si Tate pouvait placer ses pieds de façon à effectuer sa passe, alors les Eskimos connaîtraient un après-midi particulièrement long.
«Je ne dirais pas qu'il est une boîte à surprises, mais quand vous pouvez compter sur un quart qui n'a pas peur de commettre une erreur, alors vous comptez sur tout un quart-arrière, a dit Davis. Nous devons simplement lui mettre de la pression sur les épaules rapidement et le sortir de sa zone de confort.
«Ce n'est pas une recrue, mais nous devrons simplement le forcer à commettre des erreurs tôt dans le match.»
C'est peut-être évident pour l'entraîneur Davis, mais ce pourrait être une tâche ardue pour ses joueurs dimanche.