Giguère vante Freeney et Manning
Football jeudi, 4 févr. 2010. 20:25 dimanche, 15 déc. 2024. 03:48
Le receveur de passes québécois Samuel Giguère et ses coéquipiers des Colts d'Indianapolis ont poursuivi jeudi leur préparation pour le match du Super Bowl qui sera présenté dimanche à Miami.
La possible absence de l'ailier défensif étoile Dwight Freeney a encore une fois retenu l'attention, ce qui ne surprend guère l'ancien du Vert et Or de l'Université de Sherbrooke.
« Dwight est l'un des piliers de l'unité défensive des Colts », explique Giguère. « En compagnie des autres joueurs de la ligne défensive, il met beaucoup de pression sur le quart-arrière adverse. »
Le Québécois a également minimisé les propos du coordonnateur défensif des Saints de La Nouvelle-Orléans Gregg Williams, qui a dit que ses joueurs donneraient quelques « mémorables coups » Peyton Manning.
« Il ne faut pas trop s'emballer avec les propos de Williams, car c'est son genre d'en donner plus que le client en demande », conclut-il. « D'un autre côté, personne chez les Colts ne répondra, car ce n'est pas notre philosophie. »
Vous pouvez en apprendre davantage en lisant la chronique quotidienne de Samuel Giguère.
La possible absence de l'ailier défensif étoile Dwight Freeney a encore une fois retenu l'attention, ce qui ne surprend guère l'ancien du Vert et Or de l'Université de Sherbrooke.
« Dwight est l'un des piliers de l'unité défensive des Colts », explique Giguère. « En compagnie des autres joueurs de la ligne défensive, il met beaucoup de pression sur le quart-arrière adverse. »
Le Québécois a également minimisé les propos du coordonnateur défensif des Saints de La Nouvelle-Orléans Gregg Williams, qui a dit que ses joueurs donneraient quelques « mémorables coups » Peyton Manning.
« Il ne faut pas trop s'emballer avec les propos de Williams, car c'est son genre d'en donner plus que le client en demande », conclut-il. « D'un autre côté, personne chez les Colts ne répondra, car ce n'est pas notre philosophie. »
Vous pouvez en apprendre davantage en lisant la chronique quotidienne de Samuel Giguère.