"Il s'en est fallu de peu que j'aille à Cincinnati"
Football mardi, 23 mars 2004. 11:22 jeudi, 12 déc. 2024. 04:31
ALAMEDA (AP) - Lorsque Warren Sapp a visité le Colisée d'Oakland dans l'uniforme des Buccaneers de Tampa Bay en 1998, les supporters des Raiders ont façonné une poupée grandeur nature à son effigie, et l'ont fracassée à qui mieux-mieux sur un mur!
Et il s'agissait d'un match hors-concours!
Cette passion des membres du "Raider Nation" a tellement fasciné Sapp que l'exhubérant joueur de ligne défensive a accepté un contrat de sept ans d'une valeur de 36,6 millions$ US avec l'équipe.
"Le 'gris et noir' et Warren Sapp qui se retrouvent ensemble; voilà un mariage idéal!", a lancé le vétéran joueur de 31 ans, lundi, lors de sa première visite au complexe d'entraînement des Raiders.
Bien que Sapp, un natif de la Floride, n'ait jamais porté les couleurs d'une équipe évoluant à l'extérieur de son état natal, il pense pouvoir replacer les Raiders sur la voie du succès.
L'an dernier, les Raiders ont présenté un dossier de 4-12, seulement un an après avoir perdu le Super Bowl aux mains de Sapp et des Buccaneers.
En plus d'avoir remplacé l'entraîneur en chef Bill Callahan par Norv Turner, les Raiders ont été actifs sur le marché des joueurs autonomes.
Ils ont en effet embauché le plaqueur Ted Washington, les secondeurs Danny Clark et Dwayne Rudd et le joueur de ligne à l'attaque Ron Stone.
Plusieurs vedettes des Raiders seront de retour avec l'équipe en 2004, notamment le quart Rich Gannon, les receveurs de passes Tim Brown et Jerry Rice et le demi de sûreté Rod Woodson.
"Ce n'est pas tous les jours que vous pouvez jouer en compagnie de futurs membres du Panthéon de la renommée, a fait remarquer Sapp, qui a été élu sept fois au match du Pro Bowl. J'aurai cette chance ici et je vais tenter de la saisir."
Les Raiders ont embauché Sapp grâce à une alléchante proposition, pendant que son agent négociait avec les Bengals de Cincinnati. L'entente est intervenue en moins de 24 heures.
"Il s'en est fallu de peu que j'aille à Cincinnati, a admis Sapp. Mais il s'agissait d'une offre qui ne me satisfaisait pas entièrement. Le lendemain matin, je me suis réveillé et Al Davis était au bout du fil. Je l'ai toujours admiré. Son style parle par lui-même", a loué Sapp.
Et il s'agissait d'un match hors-concours!
Cette passion des membres du "Raider Nation" a tellement fasciné Sapp que l'exhubérant joueur de ligne défensive a accepté un contrat de sept ans d'une valeur de 36,6 millions$ US avec l'équipe.
"Le 'gris et noir' et Warren Sapp qui se retrouvent ensemble; voilà un mariage idéal!", a lancé le vétéran joueur de 31 ans, lundi, lors de sa première visite au complexe d'entraînement des Raiders.
Bien que Sapp, un natif de la Floride, n'ait jamais porté les couleurs d'une équipe évoluant à l'extérieur de son état natal, il pense pouvoir replacer les Raiders sur la voie du succès.
L'an dernier, les Raiders ont présenté un dossier de 4-12, seulement un an après avoir perdu le Super Bowl aux mains de Sapp et des Buccaneers.
En plus d'avoir remplacé l'entraîneur en chef Bill Callahan par Norv Turner, les Raiders ont été actifs sur le marché des joueurs autonomes.
Ils ont en effet embauché le plaqueur Ted Washington, les secondeurs Danny Clark et Dwayne Rudd et le joueur de ligne à l'attaque Ron Stone.
Plusieurs vedettes des Raiders seront de retour avec l'équipe en 2004, notamment le quart Rich Gannon, les receveurs de passes Tim Brown et Jerry Rice et le demi de sûreté Rod Woodson.
"Ce n'est pas tous les jours que vous pouvez jouer en compagnie de futurs membres du Panthéon de la renommée, a fait remarquer Sapp, qui a été élu sept fois au match du Pro Bowl. J'aurai cette chance ici et je vais tenter de la saisir."
Les Raiders ont embauché Sapp grâce à une alléchante proposition, pendant que son agent négociait avec les Bengals de Cincinnati. L'entente est intervenue en moins de 24 heures.
"Il s'en est fallu de peu que j'aille à Cincinnati, a admis Sapp. Mais il s'agissait d'une offre qui ne me satisfaisait pas entièrement. Le lendemain matin, je me suis réveillé et Al Davis était au bout du fil. Je l'ai toujours admiré. Son style parle par lui-même", a loué Sapp.