Jerry Sandusky continue de tout nier
Football samedi, 3 déc. 2011. 17:15 mercredi, 11 déc. 2024. 22:32
NEW YORK, États-Unis - L'ancien instructeur-adjoint d'une équipe de football universitaire au centre d'un scandale qui a secoué l'univers sportif américain soutient, dans une nouvelle entrevue, n'avoir jamais agressé sexuellement des enfants et il se décrit comme une figure paternelle pour les jeunes qui sont passés dans sa vie.
Dans son édition de samedi, le New York Times a également rapporté que Jerry Sandusky, un ancien assistant-entraîneur de l'équipe de l'université Penn State, assure n'avoir jamais discuté avec l'entraîneur en chef Joe Paterno de rumeurs de conduite inappropriée.
Paterno était l'un des entraîneurs les plus les plus vénérés du football universitaire américain jusqu'à son congédiement, il y a un peu plus de trois semaines.
Dans l'article, Sandusky dit que ses accusateurs ont pris tout ce qu'il avait réalisé avec des jeunes et transformé les faits pour prétendre qu'il avait des intentions de nature sexuelle. Selon Sandusky, bon nombre de jeunes le voyaient plutôt comme une figure paternelle.
Sandusky fait face à 40 chefs d'accusation d'avoir molesté huit garçons pendant une période de 15 ans. Il a été remis en liberté sous cautionnement en attendant son enquête préliminaire, le 13 décembre.
Les membres d'un grand jury enquêtant sur Sandusky ont indiqué dans un rapport, que certaines des présumées agressions seraient survenues dans les douches du vestiaire de l'équipe, incluant une allégation datant de 2002 selon laquelle un enseignant-adjoint dit avoir vu Sandusky sodomiser un jeune garçon.
Les administrateurs de l'université ont congédié Paterno détenteur du plus grand nombre de victoires de l'histoire du football universitaire américain le 9 novembre, soit quatre jours après que des accusations eurent été déposées contre Sandusky.
Le licenciement de Paterno est survenu au moment où s'amplifiaient les critiques à l'endroit des dirigeants de l'établissement pour leur inaction lorsque les rumeurs se sont rendus jusqu'à eux.
Trois procureurs représentant l'une des présumées victimes ont émis un communiqué samedi, dans lequel l'avocat Andrew Shubin qualifie les propos de Sandusky de «démenti très peu convaincant et d'explications bizarres».
Dans son édition de samedi, le New York Times a également rapporté que Jerry Sandusky, un ancien assistant-entraîneur de l'équipe de l'université Penn State, assure n'avoir jamais discuté avec l'entraîneur en chef Joe Paterno de rumeurs de conduite inappropriée.
Paterno était l'un des entraîneurs les plus les plus vénérés du football universitaire américain jusqu'à son congédiement, il y a un peu plus de trois semaines.
Dans l'article, Sandusky dit que ses accusateurs ont pris tout ce qu'il avait réalisé avec des jeunes et transformé les faits pour prétendre qu'il avait des intentions de nature sexuelle. Selon Sandusky, bon nombre de jeunes le voyaient plutôt comme une figure paternelle.
Sandusky fait face à 40 chefs d'accusation d'avoir molesté huit garçons pendant une période de 15 ans. Il a été remis en liberté sous cautionnement en attendant son enquête préliminaire, le 13 décembre.
Les membres d'un grand jury enquêtant sur Sandusky ont indiqué dans un rapport, que certaines des présumées agressions seraient survenues dans les douches du vestiaire de l'équipe, incluant une allégation datant de 2002 selon laquelle un enseignant-adjoint dit avoir vu Sandusky sodomiser un jeune garçon.
Les administrateurs de l'université ont congédié Paterno détenteur du plus grand nombre de victoires de l'histoire du football universitaire américain le 9 novembre, soit quatre jours après que des accusations eurent été déposées contre Sandusky.
Le licenciement de Paterno est survenu au moment où s'amplifiaient les critiques à l'endroit des dirigeants de l'établissement pour leur inaction lorsque les rumeurs se sont rendus jusqu'à eux.
Trois procureurs représentant l'une des présumées victimes ont émis un communiqué samedi, dans lequel l'avocat Andrew Shubin qualifie les propos de Sandusky de «démenti très peu convaincant et d'explications bizarres».