Nouvelles accusations contre Sandusky
Football mercredi, 7 déc. 2011. 13:48 dimanche, 15 déc. 2024. 02:48
STATE COLLEGE, États-Unis - L'ex-entraîneur de Penn State Jerry Sandusky a été arrêté mercredi en lien à de nouvelles accusations d'agressions sexuelles déposées par deux nouvelles victimes présumées, a fait savoir le bureau du procureur général de la Pennsylvanie.
Ces nouvelles victimes présumées ont témoigné devant un grand jury qui a décidé de déposer les accusations. Elles faisaient partie de Second Mile, l'oeuvre de charité qui a été mise sur pied par Sandusky en 1977. L'une prétend avoir été agressée en 1997, l'autre en 2004. Un appel logé au bureau de l'avocat de Sandusky, Joseph Amendola, n'a pas été retourné dans l'immédiat.
Sandusky faisait déjà face à 40 chefs d'accusation pour avoir abusé sexuellement de huit garçons sur une période de 15 ans. Il a nié être un pédophile et s'est dit déterminé à se défendre. Lors d'entrevues avec NBC et le New York Times, il a reconnu avoir pris sa douche et batifolé avec de jeunes garçons, mais il a dit qu'il n'a jamais commis d'abus sexuels.
La tournure des chose ajoute quatre chefs d'accusation de relation sexuelle déviante involontaire, et deux chefs d'accusation de contact illégal avec un mineur. Ce sont des délits qui pourraient amener 20 ans de prison et une amende de 25 000 $.
Sandusky est aussi confronté à un chef d'accusation d'agression indécente et à deux chefs d'accusation d'avoir mis en danger le bien-être de mineurs, des délits qui lui font risquer sept ans de prison et une amende de 15 000 $.
« Comme dans plusieurs autres cas reconnus jusqu'ici, les contacts avec Sandusky suivraient la tendance d'une progression dans les interactions avec les victimes, a dit la procureure Linda Kelly. Au départ c'était des sorties à des matchs de football et des cadeaux, ensuite des contacts physiques, et ensuite des agressions sexuelles.»
Ces nouvelles victimes présumées ont témoigné devant un grand jury qui a décidé de déposer les accusations. Elles faisaient partie de Second Mile, l'oeuvre de charité qui a été mise sur pied par Sandusky en 1977. L'une prétend avoir été agressée en 1997, l'autre en 2004. Un appel logé au bureau de l'avocat de Sandusky, Joseph Amendola, n'a pas été retourné dans l'immédiat.
Sandusky faisait déjà face à 40 chefs d'accusation pour avoir abusé sexuellement de huit garçons sur une période de 15 ans. Il a nié être un pédophile et s'est dit déterminé à se défendre. Lors d'entrevues avec NBC et le New York Times, il a reconnu avoir pris sa douche et batifolé avec de jeunes garçons, mais il a dit qu'il n'a jamais commis d'abus sexuels.
La tournure des chose ajoute quatre chefs d'accusation de relation sexuelle déviante involontaire, et deux chefs d'accusation de contact illégal avec un mineur. Ce sont des délits qui pourraient amener 20 ans de prison et une amende de 25 000 $.
Sandusky est aussi confronté à un chef d'accusation d'agression indécente et à deux chefs d'accusation d'avoir mis en danger le bien-être de mineurs, des délits qui lui font risquer sept ans de prison et une amende de 15 000 $.
« Comme dans plusieurs autres cas reconnus jusqu'ici, les contacts avec Sandusky suivraient la tendance d'une progression dans les interactions avec les victimes, a dit la procureure Linda Kelly. Au départ c'était des sorties à des matchs de football et des cadeaux, ensuite des contacts physiques, et ensuite des agressions sexuelles.»