Plan de match réalisable?
Football mercredi, 29 juil. 2009. 18:16 dimanche, 15 déc. 2024. 09:37
EDMONTON - La logique semble indiquer que les chances des Eskimos d'Edmonton de battre les Alouettes de Montréal seront bien meilleures, jeudi, s'ils peuvent garder le ballon dans les mains d'Arkee Whitlock et Calvin McCarty, et hors de celles d'Anthony Calvillo.
Ce qui sera moins évident, ce sera de transposer ce plan de match sur le terrain du Commonwealth Stadium.
Les Eskimos ont amassé 140 verges au sol, samedi dernier, lors d'une impressionnante remontée qui a mené à une victoire de 38-33 face aux Roughriders de la Saskatchewan.
Face aux Alouettes (4-0), ils voudront faire oublier un écrasant revers de 50-16 subi à Montréal, le 9 juillet.
Les Eskimos (2-2) n'ont pas eu beaucoup de succès au sol, cette saison, et ils espèrent que la récolte de samedi ne sera pas qu'un feu de paille. Le match de samedi était le premier où ils totalisaient au moins 100 verges par la course, en 2009.
"Pour que nous soyons efficaces, il nous faut installer solidement notre attaque au sol, a résumé l'entraîneur Richie Hall. C'est ce qui nous ouvre toutes les portes. Notre ligne offensive peut jouer de façon agressive; cela enlève de la pression sur nos ailiers et notre quart, et ça force l'adversaire à être prêt pour n'importe quel jeu."
Avec les Riders en avance 22-0, samedi, Whitlock et McCarty ont été les bougies d'allumage d'un éclatant réveil de l'attaque. McCarty a porté le ballon neuf fois pour 76 verges et deux touchés, tandis que Whitlock a obtenu 63 verges en 13 courses, incluant le touché vainqueur.
Une attaque au sol fiable et productive est quelque chose qui a manqué aux Eskimos, parce que les défenses adverses ont pu se permettre de fortement concentrer leurs efforts sur le quart Ricky Ray et ses ailiers.
"Quand votre attaque au sol va bien, tout le monde est aux aguets, a dit Ray. Nous avons été tellement unidimensionnels que les défenses n'ont pas eu à s'occuper de tout le terrain."
Le match pourrait en être un mémorable pour Calvillo, qui se trouve à 34 verges du plateau des 60 000 en carrière.
"Ca va être spécial d'être si près de 60 000, a dit Calvillo. Pour pouvoir jouer aussi longtemps et rester en santé, il faut être entouré de bons joueurs. Il ne suffit pas juste de se présenter sur le terrain. Peu importe qui vous êtres, il faut que vous soyez bien entouré."
Lors du premier match contre les Alouettes, 33 des 62 verges au sol des Eskimos sont venus de courses imprévues de Ray. Whitlock a dû se contenter de 29 verges, et McCarty n'a même pas porté le ballon une seule fois.
Le demi de coin Marc Estelle, des Alouettes, ne s'attend pas à un match aussi inégal que celui du 9 juillet.
"Le score ne reflétait pas la valeur de leur équipe, a dit Estelle. Ils ont vraiment mal joué cette journée-là. Ils échappaient des passes, et il n'y avait pas de synchronisme avec leur quart. Ricky Ray est excellent. Ils ont aussi d'excellents ailiers, mais ils n'ont pas joué à la hauteur de leur potentiel. Je suis sûr que leur entraîneur l'a exprimé très clairement cette, semaine, et je suis sûr qu'ils seront gonflés à bloc pour le match."
Ce qui sera moins évident, ce sera de transposer ce plan de match sur le terrain du Commonwealth Stadium.
Les Eskimos ont amassé 140 verges au sol, samedi dernier, lors d'une impressionnante remontée qui a mené à une victoire de 38-33 face aux Roughriders de la Saskatchewan.
Face aux Alouettes (4-0), ils voudront faire oublier un écrasant revers de 50-16 subi à Montréal, le 9 juillet.
Les Eskimos (2-2) n'ont pas eu beaucoup de succès au sol, cette saison, et ils espèrent que la récolte de samedi ne sera pas qu'un feu de paille. Le match de samedi était le premier où ils totalisaient au moins 100 verges par la course, en 2009.
"Pour que nous soyons efficaces, il nous faut installer solidement notre attaque au sol, a résumé l'entraîneur Richie Hall. C'est ce qui nous ouvre toutes les portes. Notre ligne offensive peut jouer de façon agressive; cela enlève de la pression sur nos ailiers et notre quart, et ça force l'adversaire à être prêt pour n'importe quel jeu."
Avec les Riders en avance 22-0, samedi, Whitlock et McCarty ont été les bougies d'allumage d'un éclatant réveil de l'attaque. McCarty a porté le ballon neuf fois pour 76 verges et deux touchés, tandis que Whitlock a obtenu 63 verges en 13 courses, incluant le touché vainqueur.
Une attaque au sol fiable et productive est quelque chose qui a manqué aux Eskimos, parce que les défenses adverses ont pu se permettre de fortement concentrer leurs efforts sur le quart Ricky Ray et ses ailiers.
"Quand votre attaque au sol va bien, tout le monde est aux aguets, a dit Ray. Nous avons été tellement unidimensionnels que les défenses n'ont pas eu à s'occuper de tout le terrain."
Le match pourrait en être un mémorable pour Calvillo, qui se trouve à 34 verges du plateau des 60 000 en carrière.
"Ca va être spécial d'être si près de 60 000, a dit Calvillo. Pour pouvoir jouer aussi longtemps et rester en santé, il faut être entouré de bons joueurs. Il ne suffit pas juste de se présenter sur le terrain. Peu importe qui vous êtres, il faut que vous soyez bien entouré."
Lors du premier match contre les Alouettes, 33 des 62 verges au sol des Eskimos sont venus de courses imprévues de Ray. Whitlock a dû se contenter de 29 verges, et McCarty n'a même pas porté le ballon une seule fois.
Le demi de coin Marc Estelle, des Alouettes, ne s'attend pas à un match aussi inégal que celui du 9 juillet.
"Le score ne reflétait pas la valeur de leur équipe, a dit Estelle. Ils ont vraiment mal joué cette journée-là. Ils échappaient des passes, et il n'y avait pas de synchronisme avec leur quart. Ricky Ray est excellent. Ils ont aussi d'excellents ailiers, mais ils n'ont pas joué à la hauteur de leur potentiel. Je suis sûr que leur entraîneur l'a exprimé très clairement cette, semaine, et je suis sûr qu'ils seront gonflés à bloc pour le match."