Popp veut rester en poste
Football mardi, 13 nov. 2007. 13:25 jeudi, 12 déc. 2024. 13:52
MONTREAL - Jim Popp a réaffirmé mardi qu'il veut conserver son poste d'entraîneur-chef des Alouettes.
Mais c'est le propriétaire Robert Wetenhall et le président Larry Smith qui décideront s'il restera à Montréal comme directeur général et entraîneur-chef ou s'il devra abandonner un ou les deux postes.
"Je ne suis certainement pas un lâcheur, a dit Popp. Je sais ce que nous avons fait dans cette organisation depuis un an et j'ai l'intention de continuer à être l'entraîneur-chef.
"Mais c'est tout à fait hors de mon contrôle."
Popp a encore des contrats d'un an comme entraîneur-chef et de trois ans comme directeur général. Il a été rapporté que son salaire s'élève à 400 000 $ par saison. Son congédiement coûterait donc cher.
Et il a, la plupart du temps, accompli du bon travail comme directeur général lors des 12 dernières années depuis que l'équipe est revenue à Montréal en 1996 après avoir mis fin à ses opérations en 1987 en raison du manque d'intérêt des amateurs de football.
C'est la première fois depuis leur retour à Montréal qu'ils connaissent une saison perdante alors qu'ils ont participé aux éliminatoires chaque année.
"J'entretiens d'excellents rapports avec Bob Wetenhall et Larry Smith, a dit Popp. S'ils devaient choisir de ne pas retenir mes services, il n'y aurait rien à faire.
"Mais je ne sais pas ce que j'ai commis pour ne pas reprendre mon poste."
Il a été rapporté cette semaine que des vétérans de l'équipe seraient consultés pour déterminer si Popp devrait conserver son poste d'entraîneur-chef mais aucun joueur n'a voulu le confirmer, mardi.
Publiquement, du moins, ils disent qu'ils l'appuient.
"Ce n'est pas ma décision mais je respecte beaucoup Jim Popp, a dit le vétéran secondeur Timothy Strickland, qui a raté la majeure partie de la saison en raison des blessures. La décision appartient à Bob et Larry.
"Ma seule préoccupation pour le moment, c'est ma blessure à l'épaule et j'ai hâte de rentrer à la maison pour être avec ma famille."
Le joueur de centre Bryan Chiu a indiqué qu'il n'avait pas encore été consulté en ce qui concerne l'avenir de Popp et il a dit douter que cette information soit vraie.
A sa première saison complète comme entraîneur-chef, Popp a présenté une fiche de 8-10 en saison régulière à la barre des Alouettes. Ils ont ensuite perdu leur premier match éliminatoire 24-22 contre les Blue Bombers à Winnipeg, dimanche, à la suite de décisions controversées de Popp.
"Je suis un entraîneur-chef recrue. J'ai commis des erreurs. Je suis un être humain, a-t-il dit. Tout en ayant du succès comme directeur général, j'ai aussi commis des erreurs. Qui est parfait? Mais je n'ai jamais commis une erreur qui a coûté une victoire.
"Je parle en mon nom, a-t-il ajouté. Continuer à effectuer des changements, je ne pense pas que ce serait sain pour l'organisation des Alouettes. J'estime que nous avons besoin de stabilité à l'intérieur."
Qui partira?
Seulement quatre joueurs des Alouettes pourraient devenir autonomes en février prochain: Dario Romero, Chip Cox, Dahrran Diedrick et Avon Cobourne.
Popp a l'intention de leur offrir de nouvelles ententes.
Cox rêve toujours à la NFL, mais s'il doit jouer au Canada, c'est à Montréal qu'il veut le faire.
Quant à Romero, il veut être de retour et il s'est porté à la défense de Popp.
"Je ne crois pas que Jim mérite d'être congédié, a dit Romero. Il est aussi le directeur général de cette équipe, ce qui veut dire qu'il embauche les joueurs, et nous avons du talent. Nous devons trouver l'instinct du tueur pour gagner des matchs."
Certains vétérans ignorent ce que l'avenir leur réserve à Montréal. Bryan Chiu, Luke Fritz et Timothy Strickland espèrent être de retour, mais ils pourraient faire partie des changements.
Patrick Dorvélus songe à la retraite, mais Matthieu Proulx n'a pas l'intention d'abandonner même s'il a eu sa part de blessures depuis deux ans.
Mais c'est le propriétaire Robert Wetenhall et le président Larry Smith qui décideront s'il restera à Montréal comme directeur général et entraîneur-chef ou s'il devra abandonner un ou les deux postes.
"Je ne suis certainement pas un lâcheur, a dit Popp. Je sais ce que nous avons fait dans cette organisation depuis un an et j'ai l'intention de continuer à être l'entraîneur-chef.
"Mais c'est tout à fait hors de mon contrôle."
Popp a encore des contrats d'un an comme entraîneur-chef et de trois ans comme directeur général. Il a été rapporté que son salaire s'élève à 400 000 $ par saison. Son congédiement coûterait donc cher.
Et il a, la plupart du temps, accompli du bon travail comme directeur général lors des 12 dernières années depuis que l'équipe est revenue à Montréal en 1996 après avoir mis fin à ses opérations en 1987 en raison du manque d'intérêt des amateurs de football.
C'est la première fois depuis leur retour à Montréal qu'ils connaissent une saison perdante alors qu'ils ont participé aux éliminatoires chaque année.
"J'entretiens d'excellents rapports avec Bob Wetenhall et Larry Smith, a dit Popp. S'ils devaient choisir de ne pas retenir mes services, il n'y aurait rien à faire.
"Mais je ne sais pas ce que j'ai commis pour ne pas reprendre mon poste."
Il a été rapporté cette semaine que des vétérans de l'équipe seraient consultés pour déterminer si Popp devrait conserver son poste d'entraîneur-chef mais aucun joueur n'a voulu le confirmer, mardi.
Publiquement, du moins, ils disent qu'ils l'appuient.
"Ce n'est pas ma décision mais je respecte beaucoup Jim Popp, a dit le vétéran secondeur Timothy Strickland, qui a raté la majeure partie de la saison en raison des blessures. La décision appartient à Bob et Larry.
"Ma seule préoccupation pour le moment, c'est ma blessure à l'épaule et j'ai hâte de rentrer à la maison pour être avec ma famille."
Le joueur de centre Bryan Chiu a indiqué qu'il n'avait pas encore été consulté en ce qui concerne l'avenir de Popp et il a dit douter que cette information soit vraie.
A sa première saison complète comme entraîneur-chef, Popp a présenté une fiche de 8-10 en saison régulière à la barre des Alouettes. Ils ont ensuite perdu leur premier match éliminatoire 24-22 contre les Blue Bombers à Winnipeg, dimanche, à la suite de décisions controversées de Popp.
"Je suis un entraîneur-chef recrue. J'ai commis des erreurs. Je suis un être humain, a-t-il dit. Tout en ayant du succès comme directeur général, j'ai aussi commis des erreurs. Qui est parfait? Mais je n'ai jamais commis une erreur qui a coûté une victoire.
"Je parle en mon nom, a-t-il ajouté. Continuer à effectuer des changements, je ne pense pas que ce serait sain pour l'organisation des Alouettes. J'estime que nous avons besoin de stabilité à l'intérieur."
Qui partira?
Seulement quatre joueurs des Alouettes pourraient devenir autonomes en février prochain: Dario Romero, Chip Cox, Dahrran Diedrick et Avon Cobourne.
Popp a l'intention de leur offrir de nouvelles ententes.
Cox rêve toujours à la NFL, mais s'il doit jouer au Canada, c'est à Montréal qu'il veut le faire.
Quant à Romero, il veut être de retour et il s'est porté à la défense de Popp.
"Je ne crois pas que Jim mérite d'être congédié, a dit Romero. Il est aussi le directeur général de cette équipe, ce qui veut dire qu'il embauche les joueurs, et nous avons du talent. Nous devons trouver l'instinct du tueur pour gagner des matchs."
Certains vétérans ignorent ce que l'avenir leur réserve à Montréal. Bryan Chiu, Luke Fritz et Timothy Strickland espèrent être de retour, mais ils pourraient faire partie des changements.
Patrick Dorvélus songe à la retraite, mais Matthieu Proulx n'a pas l'intention d'abandonner même s'il a eu sa part de blessures depuis deux ans.