Une question de petits détails
Football vendredi, 11 juil. 2008. 16:34 jeudi, 12 déc. 2024. 01:20
Par Francis Paquin - Après avoir dominé leurs adversaires en première demie pour la troisième fois en autant de matchs depuis le début de la saison, les Alouettes ont frappé leur premier mur jeudi soir contre les Stampeders de Calgary en étant incapables de porter le coup de grâce aux troisième et quatrième quarts.
Même si son unité offensive a été limitée à trois premiers essais en deuxième demie, le pragmatique entraîneur-chef des Alouettes Marc Trestman n'a pas voulu céder à la panique.
« Je vais devoir attendre avant de me prononcer sur ce qui s'est passé en deuxième demie », a indiqué Trestman. « Il faut dire qu'ils ont touché beaucoup plus souvent au ballon que nous. »
En effet, la bande à Henry Burris a mis le ballon en jeu environ deux fois plus souvent que celle à Anthony Calvillo dans la seconde portion de la rencontre.
Pour le receveur éloigné Danny Desriveaux cette statistique explique en bonne partie pourquoi les Alouettes ne se sont pas sauvés avec la victoire.
« Nous n'avons pas été en mesure de maintenir notre rythme », a avoué le Lavallois, qui n'a effectué que deux attrapés après en avoir réalisé huit la semaine dernière contre les Blue Bombers de Winnipeg.
L'entraîneur-chef des Alouettes n'en voulait également pas à sa défensive, qui n'a pas été en mesure de protéger une avance de 11 points au premier quart.
« Nous n'avons donné que 23 points aux Stampeders », a ajouté Trestman. « C'est quand même bien. »
Calgary avait inscrit 35 et 28 points aux dépens d'Edmonton et de la Colombie-Britannique à ses deux premiers duels de la saison.
Malgré ce résultat décevant, Trestman et ses ouailles ne croient pas que les Stampeders ont trouvé le moyen de contrer le plan de match des Alouettes.
« Dans le fond, c'est une question de petits détails », a résumé le maraudeur Pascal Masson. « Parfois, nous cherchions à trop en faire et c'est exactement à ce moment que les Stampeders en ont profité. »
Calvillo : rien de sérieux
Par ailleurs, Calvillo ne s'attend pas à rater d'action en raison de la blessure à l'auriculaire de la main gauche qu'il a subie au début du troisième quart.
Un porte-parole des Alouettes a indiqué qu'aucune radiographie n'a été prise afin de déterminer si le doigt du quart était fracturé.
Avec la collaboration de David Arsenault
Même si son unité offensive a été limitée à trois premiers essais en deuxième demie, le pragmatique entraîneur-chef des Alouettes Marc Trestman n'a pas voulu céder à la panique.
« Je vais devoir attendre avant de me prononcer sur ce qui s'est passé en deuxième demie », a indiqué Trestman. « Il faut dire qu'ils ont touché beaucoup plus souvent au ballon que nous. »
En effet, la bande à Henry Burris a mis le ballon en jeu environ deux fois plus souvent que celle à Anthony Calvillo dans la seconde portion de la rencontre.
Pour le receveur éloigné Danny Desriveaux cette statistique explique en bonne partie pourquoi les Alouettes ne se sont pas sauvés avec la victoire.
« Nous n'avons pas été en mesure de maintenir notre rythme », a avoué le Lavallois, qui n'a effectué que deux attrapés après en avoir réalisé huit la semaine dernière contre les Blue Bombers de Winnipeg.
L'entraîneur-chef des Alouettes n'en voulait également pas à sa défensive, qui n'a pas été en mesure de protéger une avance de 11 points au premier quart.
« Nous n'avons donné que 23 points aux Stampeders », a ajouté Trestman. « C'est quand même bien. »
Calgary avait inscrit 35 et 28 points aux dépens d'Edmonton et de la Colombie-Britannique à ses deux premiers duels de la saison.
Malgré ce résultat décevant, Trestman et ses ouailles ne croient pas que les Stampeders ont trouvé le moyen de contrer le plan de match des Alouettes.
« Dans le fond, c'est une question de petits détails », a résumé le maraudeur Pascal Masson. « Parfois, nous cherchions à trop en faire et c'est exactement à ce moment que les Stampeders en ont profité. »
Calvillo : rien de sérieux
Par ailleurs, Calvillo ne s'attend pas à rater d'action en raison de la blessure à l'auriculaire de la main gauche qu'il a subie au début du troisième quart.
Un porte-parole des Alouettes a indiqué qu'aucune radiographie n'a été prise afin de déterminer si le doigt du quart était fracturé.
Avec la collaboration de David Arsenault