"C'est frustrant, oui, mais c'est correct"
Golf jeudi, 18 juil. 2002. 20:20 jeudi, 12 déc. 2024. 11:38
GULLANE, Écosse (AP) - Tiger Woods était choqué, et pas uniquement à l'endroit des photographes qui l'ont déconcentré au premier trou. Au terme d'une journée frustrante sur les verts du parcours Muirfield, il savait qu'il devra jouer mieux sur les verts afin de rester dans la lutte pour l'obtention du Grand Chelem.
Aux prises avec un fer droit récalcitrant et des verts plus lents qu'il le pensait, Woods a remis une carte de 70, un coup sous la normale, en lever de rideau du troisième championnat majeur de l'année de la PGA.
La journée était propice aux bas pointages, mais le meilleur joueur au monde n'a pas obtenu un score satisfaisant. Il n'a même pas été le meilleur de son groupe, Justin Rose et Shigeki Maruyama faisant mieux que lui de deux coups chacun.
Après avoir effectué 33 coups roulés, Woods a complété le premier parcours à trois coups des co-meneurs David Toms, Duffy Waldorf et Carl Pettersson.
"C'est frustrant, oui, mais c'est correct, a dit Woods, qui a joué 70. Il arrive parfois que la balle refuse de tomber. Mais si vous continuez de faire de bons roulés, comme je l'ai fait aujourd'hui, la balle va finir par tomber."
Woods a assuré que sa confiance n'a pas été ébranlée.
"Vous pouvez uniquement vous sortir du tournoi au cours de la première journée et ce n'est assurément pas ce que j'ai fait, a-t-il affirmé. Je me retrouve en bonne position."
Toms, Waldorf et Pettersson ont retranché quatre coups à la normale pour jouer 67 chacun.
Waldorf, âgé de 39 ans, a remporté quatre titres sur le circuit de la PGA. Mais il s'est davantage démarqué à cause de sa tenue vestimentaire excentrique. C'est aussi lui qui joue avec des balles arborant des dessins de ses enfants.
"J'ai simplement gardé la balle dans l'allée, tout en profitant des occasions que j'ai eues", a commenté Waldorf.
Clic!
Woods, comme à l'accoutumée, a attiré une foule nombreuse qui a assisté à son départ chancelant.
Il a été dérangé par un photographe quelques secondes avant de cogner son premier coup de départ. Après avoir pris quelques instants afin de retrouver sa concentration, il a envoyé sa balle dans l'herbe longue.
Visiblement frustré, il a fait savoir son mécontentement aux photographes qui l'ont suivi jusque dans l'herbe longue.
Retrouvant son sang-froid, il s'est bien sorti de sa fâcheuse position avant de réussir la normale à l'aide d'un roulé d'une dizaine de pieds.
Ce fut là un de ses meilleurs coups roulés de la journée, Woods ratant plusieurs roulés d'une quinzaine de pieds chacun, en plus de faire trois roulés pour commettre un bogey au cinquième trou.
Même s'il a envoyé trois coups de départ dans l'herbe longue, Woods a atteint 15 verts en coups réglementaires. Il n'a toutefois saisi qu'une seule des sept occasions de birdies qu'il a obtenues sur une distance de 18 pieds et moins.
"Nous ne sommes pas habitués de jouer sur des verts lents de la sorte", a-t-il argué.
Par une journée paisible et ensoleillé, favorable à de bons scores, les golfeurs ont constaté que le parcours de Muirfield n'est pas facile. Plusieurs joueurs se sont retrouvés dans l'herbe longue et les fosses de sable, l'Espagnol Sergio Garcia ayant besoin à un moment donné de deux coups pour se sortir d'une d'entre elles.
Aux prises avec un fer droit récalcitrant et des verts plus lents qu'il le pensait, Woods a remis une carte de 70, un coup sous la normale, en lever de rideau du troisième championnat majeur de l'année de la PGA.
La journée était propice aux bas pointages, mais le meilleur joueur au monde n'a pas obtenu un score satisfaisant. Il n'a même pas été le meilleur de son groupe, Justin Rose et Shigeki Maruyama faisant mieux que lui de deux coups chacun.
Après avoir effectué 33 coups roulés, Woods a complété le premier parcours à trois coups des co-meneurs David Toms, Duffy Waldorf et Carl Pettersson.
"C'est frustrant, oui, mais c'est correct, a dit Woods, qui a joué 70. Il arrive parfois que la balle refuse de tomber. Mais si vous continuez de faire de bons roulés, comme je l'ai fait aujourd'hui, la balle va finir par tomber."
Woods a assuré que sa confiance n'a pas été ébranlée.
"Vous pouvez uniquement vous sortir du tournoi au cours de la première journée et ce n'est assurément pas ce que j'ai fait, a-t-il affirmé. Je me retrouve en bonne position."
Toms, Waldorf et Pettersson ont retranché quatre coups à la normale pour jouer 67 chacun.
Waldorf, âgé de 39 ans, a remporté quatre titres sur le circuit de la PGA. Mais il s'est davantage démarqué à cause de sa tenue vestimentaire excentrique. C'est aussi lui qui joue avec des balles arborant des dessins de ses enfants.
"J'ai simplement gardé la balle dans l'allée, tout en profitant des occasions que j'ai eues", a commenté Waldorf.
Clic!
Woods, comme à l'accoutumée, a attiré une foule nombreuse qui a assisté à son départ chancelant.
Il a été dérangé par un photographe quelques secondes avant de cogner son premier coup de départ. Après avoir pris quelques instants afin de retrouver sa concentration, il a envoyé sa balle dans l'herbe longue.
Visiblement frustré, il a fait savoir son mécontentement aux photographes qui l'ont suivi jusque dans l'herbe longue.
Retrouvant son sang-froid, il s'est bien sorti de sa fâcheuse position avant de réussir la normale à l'aide d'un roulé d'une dizaine de pieds.
Ce fut là un de ses meilleurs coups roulés de la journée, Woods ratant plusieurs roulés d'une quinzaine de pieds chacun, en plus de faire trois roulés pour commettre un bogey au cinquième trou.
Même s'il a envoyé trois coups de départ dans l'herbe longue, Woods a atteint 15 verts en coups réglementaires. Il n'a toutefois saisi qu'une seule des sept occasions de birdies qu'il a obtenues sur une distance de 18 pieds et moins.
"Nous ne sommes pas habitués de jouer sur des verts lents de la sorte", a-t-il argué.
Par une journée paisible et ensoleillé, favorable à de bons scores, les golfeurs ont constaté que le parcours de Muirfield n'est pas facile. Plusieurs joueurs se sont retrouvés dans l'herbe longue et les fosses de sable, l'Espagnol Sergio Garcia ayant besoin à un moment donné de deux coups pour se sortir d'une d'entre elles.