Cabrera est aux anges
Golf dimanche, 17 juin 2007. 14:16 dimanche, 15 déc. 2024. 15:44
OAKMONT, Pennsylvanie - Angel Cabrera a réussi tous les coups importants, dimanche, pour remporter l'Omnium des Etats-Unis par un coup devant Tiger Woods et Jim Furyk.
L'Argentin a ramené une carte de 69 pour un score cumulatif de 285, cinq coups au-delà de la normale.
Pour un deuxième tournoi consécutif, Woods (72) a joué dans le groupe final sans parvenir à renverser la vapeur; il a raté des occasions d'oiselet avec son cocheur et son putteur.
L'ancien champion Furyk (en 2003) a payé cher pour un choix risqué de bois numéro un au 17e, et le boguey qui en a résulté lui a valu une carte de 70.
Le seul autre Argentin à avoir remporté un tournoi majeur a été Roberto De Vicenzo, lors de l'Omnium britannique à Hoylake en 1967.
"C'est difficile de décrire ce que je ressens, a confié Cabrera. Peut-être que quand je me réveillerai avec le trophée à mes côtés, je vais réaliser que j'ai gagné l'Omnium des Etats-Unis."
Stephen Ames de Calgary a joué 76 pour un total de 291, terminant au sein d'une égalité en 10e place, ce qui lui a rapporté 154 093 $ US. Amorçant le parcours à égalité en quatrième place, il a signé un oiselet dès le premier trou, mais ses chances ont pris un dur coup après un triple boguey au septième trou.
Son résultat augmente tout de même ses chances de mériter une place au sein de l'équipe internationale pour la coupe du Président, qui aura lieu à Montréal en septembre.
Mike Weir de Bright's Grove en Ontario a ramené une carte de 75 pour un total de 294, à égalité au 20e rang; il a empoché 86 200 $.
Cabrera a commis quelques erreurs, comme tout le monde sur le brutal terrain près de Pittsburgh, mais il a surmonté des bogueys aux 16e et 17e grâce à un coup de départ parfait qui l'a mené vers une normale des plus cruciales.
Woods a obtenu un seul oiselet à ses 32 derniers trous. Il a raté d'une distance de six pieds au 13e, et les seuls coups opportuns qu'il a réussis en deuxième moitié de parcours l'ont été pour des normales.
"Il (Cabrera) a mis beaucoup de pression sur Jim et moi, et nous n'avons pas réussi à prendre le dessus," a dit Woods.
Woods n'a jamais gagné de tournoi majeur où il n'était pas le meneur au moment d'amorcer un dernier parcours.
Furyk, qui a grandi dans l'ouest de la Pennsylvanie, a signé trois oiselets d'affilée lors du deuxième neuf. Il était à égalité en tête lorsqu'il a choisi de prendre son bois numéro un au 17e; il a envoyé sa balle tellement loin et à gauche qu'il n'avait plus d'angle pour son coup suivant, qui n'a pas atteint le vert. Il a par la suite raté un roulé d'une distance de huit pieds.
Woods n'a pas été très impressionnant lors de la dernière ronde, mais il était quand même en position de forcer une prolongation avec un oiselet lors des trois derniers trous. Il s'en est sorti avec une normale à partir d'une fosse de sable au 17e; au 18e, son coup de départ s'est logé près de l'herbe longue, son coup suivant a dépassé le fanion de 30 pieds, puis il a raté de peu l'oiselet qui lui aurait donné un oiselet.
Aaron Baddeley, qui amorçait le parcours en tête, deux coups devant Woods, a possiblement commis la plus grosse erreur de la journée. Au premier trou, il a visé le fanion plutôt que le milieu du vert et sa balle a dépassé le vert. Il a ensuite effectué deux coups peu convaincants en route vers un triple boguey qui l'a sorti du peloton de tête.
L'Argentin a ramené une carte de 69 pour un score cumulatif de 285, cinq coups au-delà de la normale.
Pour un deuxième tournoi consécutif, Woods (72) a joué dans le groupe final sans parvenir à renverser la vapeur; il a raté des occasions d'oiselet avec son cocheur et son putteur.
L'ancien champion Furyk (en 2003) a payé cher pour un choix risqué de bois numéro un au 17e, et le boguey qui en a résulté lui a valu une carte de 70.
Le seul autre Argentin à avoir remporté un tournoi majeur a été Roberto De Vicenzo, lors de l'Omnium britannique à Hoylake en 1967.
"C'est difficile de décrire ce que je ressens, a confié Cabrera. Peut-être que quand je me réveillerai avec le trophée à mes côtés, je vais réaliser que j'ai gagné l'Omnium des Etats-Unis."
Stephen Ames de Calgary a joué 76 pour un total de 291, terminant au sein d'une égalité en 10e place, ce qui lui a rapporté 154 093 $ US. Amorçant le parcours à égalité en quatrième place, il a signé un oiselet dès le premier trou, mais ses chances ont pris un dur coup après un triple boguey au septième trou.
Son résultat augmente tout de même ses chances de mériter une place au sein de l'équipe internationale pour la coupe du Président, qui aura lieu à Montréal en septembre.
Mike Weir de Bright's Grove en Ontario a ramené une carte de 75 pour un total de 294, à égalité au 20e rang; il a empoché 86 200 $.
Cabrera a commis quelques erreurs, comme tout le monde sur le brutal terrain près de Pittsburgh, mais il a surmonté des bogueys aux 16e et 17e grâce à un coup de départ parfait qui l'a mené vers une normale des plus cruciales.
Woods a obtenu un seul oiselet à ses 32 derniers trous. Il a raté d'une distance de six pieds au 13e, et les seuls coups opportuns qu'il a réussis en deuxième moitié de parcours l'ont été pour des normales.
"Il (Cabrera) a mis beaucoup de pression sur Jim et moi, et nous n'avons pas réussi à prendre le dessus," a dit Woods.
Woods n'a jamais gagné de tournoi majeur où il n'était pas le meneur au moment d'amorcer un dernier parcours.
Furyk, qui a grandi dans l'ouest de la Pennsylvanie, a signé trois oiselets d'affilée lors du deuxième neuf. Il était à égalité en tête lorsqu'il a choisi de prendre son bois numéro un au 17e; il a envoyé sa balle tellement loin et à gauche qu'il n'avait plus d'angle pour son coup suivant, qui n'a pas atteint le vert. Il a par la suite raté un roulé d'une distance de huit pieds.
Woods n'a pas été très impressionnant lors de la dernière ronde, mais il était quand même en position de forcer une prolongation avec un oiselet lors des trois derniers trous. Il s'en est sorti avec une normale à partir d'une fosse de sable au 17e; au 18e, son coup de départ s'est logé près de l'herbe longue, son coup suivant a dépassé le fanion de 30 pieds, puis il a raté de peu l'oiselet qui lui aurait donné un oiselet.
Aaron Baddeley, qui amorçait le parcours en tête, deux coups devant Woods, a possiblement commis la plus grosse erreur de la journée. Au premier trou, il a visé le fanion plutôt que le milieu du vert et sa balle a dépassé le vert. Il a ensuite effectué deux coups peu convaincants en route vers un triple boguey qui l'a sorti du peloton de tête.