L'élite mondiale attend S.-M. Juneau
Golf vendredi, 2 nov. 2012. 17:23 dimanche, 15 déc. 2024. 07:45
Il y a un mois, la golfeuse Sara-Maude Juneau est devenue la cinquième Québécoise de l'histoire à obtenir sa carte de la LPGA.
Grâce à sa dixième place au classement final du Symetra Tour, elle pourra vivre son rêve de se mesurer à l'élite mondiale de son sport, après seulement un an et demi sur le circuit-école.
De passage à Québec pour quelques jours de vacances et pour célébrer ses 25 ans, l'athlète de Ste-Catherine-de-la-Jacques-Cartier commence à peine, un mois plus tard, à savourer l'ampleur de son exploit.
« Je commence juste à réaliser ce qui m'arrive. En un mois, ma vie a beaucoup changé ici. Durant ma semaine de vacances à Québec, je commence tranquillement à réaliser ce que j'ai fait », a affirmé Sara-Maude Juneau.
Bien qu'elle croie en ses chances et en ses aptitudes, Sara-Maude admet qu'elle a franchi les étapes rapidement.
« C'est sûr que ça n'a pas été long, mais je me suis habituée quand même assez vite au rythme de vie que ça prenait. J'étais vraiment contente du résultat. »
Maintenant qu'elle a atteint la LPGA, elle sait aussi que le plus difficile reste à venir.
« Mon but est d'y rester. Il faut bien jouer », admet-elle. « Il faut réussir à obtenir de bons résultats pour rester dans l'argent. Je veux vraiment y rester. »
À quelques mois de son premier coup de départ dans la LPGA, la jeune femme n'échappe pas à une certaine nervosité.
« C'est sûr que je suis un petit peu nerveuse. C'est quelque chose que je ne connais pas encore. Oui, j'ai joué quatre tournois sur la LPGA mais ce n'était pas une saison complète. Je vais devoir m'habituer comme je me suis habituée l'été passé. »
Loin de la maison pendant plusieurs mois, Sara-Maude Juneau retrouvera avec plaisir une bonne amie sur le grand circuit, Maude-Aimée Leblanc.
« Oui. Ça fait très longtemps qu'on joue au golf ensemble, Maude-Aimée et moi. Ça fait longtemps que je n'ai pas joué avec elle donc ça va être bien. »
Même si elle est bien consciente que la compétition sera plus féroce que jamais, Sara-Maude Juneau croit qu'elle connaîtra du succès en se concentrant sur son jeu et sa progression. Et c'est à compter de février prochain qu'elle pourra montrer son savoir-faire parmi les meilleures.
*D'après un reportage de Pierre Vézina
Grâce à sa dixième place au classement final du Symetra Tour, elle pourra vivre son rêve de se mesurer à l'élite mondiale de son sport, après seulement un an et demi sur le circuit-école.
De passage à Québec pour quelques jours de vacances et pour célébrer ses 25 ans, l'athlète de Ste-Catherine-de-la-Jacques-Cartier commence à peine, un mois plus tard, à savourer l'ampleur de son exploit.
« Je commence juste à réaliser ce qui m'arrive. En un mois, ma vie a beaucoup changé ici. Durant ma semaine de vacances à Québec, je commence tranquillement à réaliser ce que j'ai fait », a affirmé Sara-Maude Juneau.
Bien qu'elle croie en ses chances et en ses aptitudes, Sara-Maude admet qu'elle a franchi les étapes rapidement.
« C'est sûr que ça n'a pas été long, mais je me suis habituée quand même assez vite au rythme de vie que ça prenait. J'étais vraiment contente du résultat. »
Maintenant qu'elle a atteint la LPGA, elle sait aussi que le plus difficile reste à venir.
« Mon but est d'y rester. Il faut bien jouer », admet-elle. « Il faut réussir à obtenir de bons résultats pour rester dans l'argent. Je veux vraiment y rester. »
À quelques mois de son premier coup de départ dans la LPGA, la jeune femme n'échappe pas à une certaine nervosité.
« C'est sûr que je suis un petit peu nerveuse. C'est quelque chose que je ne connais pas encore. Oui, j'ai joué quatre tournois sur la LPGA mais ce n'était pas une saison complète. Je vais devoir m'habituer comme je me suis habituée l'été passé. »
Loin de la maison pendant plusieurs mois, Sara-Maude Juneau retrouvera avec plaisir une bonne amie sur le grand circuit, Maude-Aimée Leblanc.
« Oui. Ça fait très longtemps qu'on joue au golf ensemble, Maude-Aimée et moi. Ça fait longtemps que je n'ai pas joué avec elle donc ça va être bien. »
Même si elle est bien consciente que la compétition sera plus féroce que jamais, Sara-Maude Juneau croit qu'elle connaîtra du succès en se concentrant sur son jeu et sa progression. Et c'est à compter de février prochain qu'elle pourra montrer son savoir-faire parmi les meilleures.
*D'après un reportage de Pierre Vézina