L'Omnium canadien voudrait être majeur
Golf dimanche, 13 août 2006. 18:15 dimanche, 15 déc. 2024. 00:37
LONDON, Ont. (PC) - Plusieurs golfeuses ont déclaré cette semaine que l'Omnium canadien de golf féminin a les caractéristiques d'un tournoi majeur.
C'est exactement ce que le Canadien National, commanditaire du tournoi depuis cette année, veut entendre.
"Ce serait formidable que ça redevienne un tournoi majeur, a déclaré le pdg du CN, Hunter Harrison, dimanche. Nous nous sommes engagés sérieusement. On ne peut créer un tournoi majeur du jour au lendemain, il faut plus d'argent.
"Mais lorsque nous faisons des choses, nous aimons les faire de la bonne façon. Nous allons faire tout ce qui est possible pour ramener ce tournoi au même niveau que celui d'un majeur."
L'étape canadienne de la LPGA a officiellement été considérée comme un tournoi majeur de 1984 à 2000, alors qu'elle était connue sous le nom de Classique du Maurier.
Le tournoi a dû rompre ses liens avec la compagnie de tabac à cause de la nouvelle loi canadienne sur la publicité, puis c'est l'Omnium britannique de golf féminin qui a pris la relève à titre de quatrième tournoi majeur du calendrier de la LPGA.
Lorsque la Banque de Montréal était commanditaire, de 2001 à 2005, l'événement a perdu du lustre à chaque année. Alors que le tournoi semblait en danger de disparaître, CN s'est interposé et a signé un contrat de trois ans assorti de deux années d'option, qui commence cette année.
"A moins d'événements imprévus, ce n'est pas seulement une entente de trois ans, a souligné Harrison, qui est lui-même sous contrat avec le CN pour les quatre prochaines années. C'est un engagement à long terme de notre part.
"Le prochain pdg aura peut-être un point de vue différent, mais je ne pense pas. Je pense qu'il s'agit d'un événement que nous soutiendrons pendant longtemps et que nous aiderons à bâtir."
"Je pense que nous allons dans la bonne direction peu importe si nous avons le statut de tournoi majeur ou non, a déclaré Sean Van Kesteren, le directeur du tournoi. Nous pouvons faire des choses qui donnent à l'événement des allures de tournoi majeur. Nous pouvons soutenir la comparaison avec n'importe quelle autre épreuve de la LPGA."
C'est exactement ce que le Canadien National, commanditaire du tournoi depuis cette année, veut entendre.
"Ce serait formidable que ça redevienne un tournoi majeur, a déclaré le pdg du CN, Hunter Harrison, dimanche. Nous nous sommes engagés sérieusement. On ne peut créer un tournoi majeur du jour au lendemain, il faut plus d'argent.
"Mais lorsque nous faisons des choses, nous aimons les faire de la bonne façon. Nous allons faire tout ce qui est possible pour ramener ce tournoi au même niveau que celui d'un majeur."
L'étape canadienne de la LPGA a officiellement été considérée comme un tournoi majeur de 1984 à 2000, alors qu'elle était connue sous le nom de Classique du Maurier.
Le tournoi a dû rompre ses liens avec la compagnie de tabac à cause de la nouvelle loi canadienne sur la publicité, puis c'est l'Omnium britannique de golf féminin qui a pris la relève à titre de quatrième tournoi majeur du calendrier de la LPGA.
Lorsque la Banque de Montréal était commanditaire, de 2001 à 2005, l'événement a perdu du lustre à chaque année. Alors que le tournoi semblait en danger de disparaître, CN s'est interposé et a signé un contrat de trois ans assorti de deux années d'option, qui commence cette année.
"A moins d'événements imprévus, ce n'est pas seulement une entente de trois ans, a souligné Harrison, qui est lui-même sous contrat avec le CN pour les quatre prochaines années. C'est un engagement à long terme de notre part.
"Le prochain pdg aura peut-être un point de vue différent, mais je ne pense pas. Je pense qu'il s'agit d'un événement que nous soutiendrons pendant longtemps et que nous aiderons à bâtir."
"Je pense que nous allons dans la bonne direction peu importe si nous avons le statut de tournoi majeur ou non, a déclaré Sean Van Kesteren, le directeur du tournoi. Nous pouvons faire des choses qui donnent à l'événement des allures de tournoi majeur. Nous pouvons soutenir la comparaison avec n'importe quelle autre épreuve de la LPGA."