Le nouveau défi de Furyk
Golf mercredi, 25 juil. 2007. 20:01 jeudi, 12 déc. 2024. 00:30
MARKHAM, Ontario - L'environnement sera bien différent cette année à l'Omnium canadien de golf, et cela pourrait s'avérer un défi de plus à relever pour le champion en titre, Jim Furyk.
Furyk, classé troisième au monde, devra laisser de côté les souvenirs de sa victoire de l'an dernier, obtenue au Hamilton Golf and Country Club, car le tournoi sera disputé sur un parcours bien différent, celui d'Angus Glen North.
C'est un défi que confrontent à chaque année les champions des Omnium britannique et des Etats-Unis, mais dont Furyk se serait bien passé.
Au club de Hamilton, les arbres ceinturent un parcours conçu environ huit décennies avant que des terres agricoles ne deviennent le terrain que l'on appela Angus Glen North.
"Je suis un grand amateur des vieux clubs traditionnels, a dit Furyk. Si je devais choisir entre ici et Hamilton, j'irais avec Hamilton, j'adore ce terrain-là. Mais ça ne veut pas dire que le terrain ici est mauvais, pas du tout."
Angus Glen North a été critiqué dès son été inaugural, en 2001, alors que le club a été l'hôte du Skins Game Telus. Le terrain public conçu principalement pour des événements corporatifs a été qualifié de trop facile.
C'est le genre de réputation dont il peut être difficile de se défaire, mais c'est peut-être bien ce qui arrivera à la suite des modifications apportées par Davis Love III.
Les observations à cet effet ont été largement positives, cette semaine. Même Furyk, qui favorise les allées étroites et l'herbe longue ne pardonnant pas, n'avait pas vraiment de plainte à formuler à propos du très ouvert Angus Glen.
Furyk est le mieux classé d'un peloton qui n'inclut que quatre des 20 meilleurs boursiers de la PGA. Il a terminé sept fois parmi les 10 premiers cette saison, étant toujours à la recherche d'un premier gain.
Furyk n'est toujours pas sorti vainqueur d'un tournoi depuis son triomphe par ralliement lors d'une journée frisquette à Hamilton, en septembre dernier. Le fait de disputer le tournoi plus tôt au calendrier et sur un nouveau terrain donnera une nouvelle allure à l'événement.
Vijay Singh jouera en compagnie de Mike Weir lors des deux premières rondes. Son impression est qu'il faudra une tonne d'oiselets pour l'emporter.
"Ils devraient cacher les fanions un peu, a mentionné Singh. Sinon les gars vont réussir des scores très bas. Les allées et les verts sont très généreux. A moins de faire un très mauvais coup, vous ne serez pas pénalisé. A moins qu'il y ait beaucoup de vent, ce sera une semaine d'excellents scores."
Weir et Stephen Ames seront les têtes d'affiche parmi les 20 joueurs d'origine canadienne. Le tournoi n'a pas été gagné par un Canadien depuis la victoire de Pat Fletcher en 1954.
Weir est venu le plus près, en 2004, s'inclinant devant Singh en prolongation à Glen Abbey. Il mentionne ne pas s'en faire avec l'attention supplémentaire qu'il attire lorsqu'il joue à domicile.
"C'est un championnat national, a dit Weir. J'ai beaucoup de plaisir à être ici. Je veux être le vainqueur, et ça ne me dérange pas du tout d'être sollicité davantage."
Le parcours totalisera 7320 verges, ce qui pourrait plaire à de gros cogneurs comme Bubba Watson et John Daly.
Le gagnant recevra une invitation au prochain Tournoi des maîtres, ainsi qu'une place à l'Omnium britannique en 2008.
Furyk, classé troisième au monde, devra laisser de côté les souvenirs de sa victoire de l'an dernier, obtenue au Hamilton Golf and Country Club, car le tournoi sera disputé sur un parcours bien différent, celui d'Angus Glen North.
C'est un défi que confrontent à chaque année les champions des Omnium britannique et des Etats-Unis, mais dont Furyk se serait bien passé.
Au club de Hamilton, les arbres ceinturent un parcours conçu environ huit décennies avant que des terres agricoles ne deviennent le terrain que l'on appela Angus Glen North.
"Je suis un grand amateur des vieux clubs traditionnels, a dit Furyk. Si je devais choisir entre ici et Hamilton, j'irais avec Hamilton, j'adore ce terrain-là. Mais ça ne veut pas dire que le terrain ici est mauvais, pas du tout."
Angus Glen North a été critiqué dès son été inaugural, en 2001, alors que le club a été l'hôte du Skins Game Telus. Le terrain public conçu principalement pour des événements corporatifs a été qualifié de trop facile.
C'est le genre de réputation dont il peut être difficile de se défaire, mais c'est peut-être bien ce qui arrivera à la suite des modifications apportées par Davis Love III.
Les observations à cet effet ont été largement positives, cette semaine. Même Furyk, qui favorise les allées étroites et l'herbe longue ne pardonnant pas, n'avait pas vraiment de plainte à formuler à propos du très ouvert Angus Glen.
Furyk est le mieux classé d'un peloton qui n'inclut que quatre des 20 meilleurs boursiers de la PGA. Il a terminé sept fois parmi les 10 premiers cette saison, étant toujours à la recherche d'un premier gain.
Furyk n'est toujours pas sorti vainqueur d'un tournoi depuis son triomphe par ralliement lors d'une journée frisquette à Hamilton, en septembre dernier. Le fait de disputer le tournoi plus tôt au calendrier et sur un nouveau terrain donnera une nouvelle allure à l'événement.
Vijay Singh jouera en compagnie de Mike Weir lors des deux premières rondes. Son impression est qu'il faudra une tonne d'oiselets pour l'emporter.
"Ils devraient cacher les fanions un peu, a mentionné Singh. Sinon les gars vont réussir des scores très bas. Les allées et les verts sont très généreux. A moins de faire un très mauvais coup, vous ne serez pas pénalisé. A moins qu'il y ait beaucoup de vent, ce sera une semaine d'excellents scores."
Weir et Stephen Ames seront les têtes d'affiche parmi les 20 joueurs d'origine canadienne. Le tournoi n'a pas été gagné par un Canadien depuis la victoire de Pat Fletcher en 1954.
Weir est venu le plus près, en 2004, s'inclinant devant Singh en prolongation à Glen Abbey. Il mentionne ne pas s'en faire avec l'attention supplémentaire qu'il attire lorsqu'il joue à domicile.
"C'est un championnat national, a dit Weir. J'ai beaucoup de plaisir à être ici. Je veux être le vainqueur, et ça ne me dérange pas du tout d'être sollicité davantage."
Le parcours totalisera 7320 verges, ce qui pourrait plaire à de gros cogneurs comme Bubba Watson et John Daly.
Le gagnant recevra une invitation au prochain Tournoi des maîtres, ainsi qu'une place à l'Omnium britannique en 2008.