Mike Weir doit se contenter d'une ronde de 74
Golf jeudi, 17 juil. 2003. 16:43 jeudi, 12 déc. 2024. 02:40
SANDWICH, Angleterre (PC) - L'été a été magnifique dans le sud de l'Angleterre... jusqu'à jeudi, au grand désarroi de Mike Weir. Dans des conditions venteuses et humides, le golfeur canadien a passé beaucoup de temps dans l'herbe haute du Royal St. George's, jeudi, et il a inscrit un score de 74 lors de la première ronde de l'Omnium britannique.
Le parcours sur lequel Weir s'était entraîné dans des conditions idéales, durant la semaine, avait pris une toute autre allure jeudi.
Le gaucher de Bright's Grove n'a jamais semblé capable d'apporter les ajustements nécessaires, et du même coup, il a raté 12 des 14 allées et 12 des 18 verts.
"J'ai vraiment connu des difficultés lorsque le vent soufflait de droite à gauche, a reconnu Weir, quelques instants après avoir terminé le 18e trou.
"J'étais tout simplement incapable de cogner la balle de gauche à droite et pour cette raison, je me suis souvent retrouvé dans l'herbe haute. Je vais devoir corriger ce problème."
Weir a dû patienter jusqu'au 13e trou avant de loger sa balle dans l'allée à la suite d'un coup de départ.
Le vent s'est amplifié durant la journée, mais Weir, qui a amorcé sa ronde parmi les tout premiers, a également dû combattre la pluie en première moitié de parcours.
Weir est parvenu à sauver les meubles et inscrire un score somme toute respectable grâce à certains coups de qualité.
D'une fosse de sable au 18e trou, par exemple, le Canadien a expédié sa balle à quelques pieds de la coupe avant de caler son roulé pour la normale.
Selon Weir, il s'agit d'un moment important dans une journée qui aurait pu être bien pire.
"J'ai bien fait sur les verts et j'ai réussi de belles récupérations", a-t-il analysé.
Weir n'a eu besoin que de 25 coups roulés pour compléter sa ronde, mais parce qu'il n'a atteint que six des 18 verts en coups prescrits, il a fréquemment dû effectuer des coups d'approche pour ensuite tenter de sauver des normales avec son fer droit.
Au septième trou, une normale-5, Weir a ramené son score à la normale grâce à un eagle. D'une distance de 220 verges et de l'herbe semi-haute, Weir a logé sa balle à 15 pieds du trou à l'aide de son fer-5.
Mais au huitième trou, Weir a raté l'allée au départ, ensuite le vert, et il a finalement commis un bogey.
Les forts vents ont même causé des maux de tête à Weir... sur les verts.
"Lorsque nous faisons face au vent, les verts deviennent très lents, a-t-il noté. Lors de plusieurs roulés, le vent ralentissait considérablement la balle."
Weir, dont les gains de plus de 4,2 millions$ US lui confèrent le premier rang parmi les boursiers de la PGA, n'a jamais connu beaucoup de succès à l'Omnium britannique.
Il a réalisé sa meilleure prestation en 1999, lors de sa première visite, avec une 37e place. En 2001, il n'est pas parvenu à se qualifier pour les deux derniers parcours.
Weir affirme avoir appris à réagir aux mauvais coups du sort dont les golfeurs sont souvent victimes sur les parcours britanniques. Il en a vécu deux dès le début de sa ronde, jeudi.
Sur le premier vert, un brin d'herbe s'est collé à son fer droit, ce qui a affecté la sensation du contact du bâton avec la balle.
Au trou suivant, il croyait avoir frappé un coup de départ idéal. Toutefois, sa balle, après avoir survolé une fosse de sable, est revenue vers l'arrière et trouvé le sable.
"J'ai été victime de bonds bizarres, a admis le golfeur âgé de 33 ans.
"Avec un peu plus de chance, peut-être que je serais plus près de la normale. Il reste que je n'ai pas si bien joué", a-t-il conclu.
Le parcours sur lequel Weir s'était entraîné dans des conditions idéales, durant la semaine, avait pris une toute autre allure jeudi.
Le gaucher de Bright's Grove n'a jamais semblé capable d'apporter les ajustements nécessaires, et du même coup, il a raté 12 des 14 allées et 12 des 18 verts.
"J'ai vraiment connu des difficultés lorsque le vent soufflait de droite à gauche, a reconnu Weir, quelques instants après avoir terminé le 18e trou.
"J'étais tout simplement incapable de cogner la balle de gauche à droite et pour cette raison, je me suis souvent retrouvé dans l'herbe haute. Je vais devoir corriger ce problème."
Weir a dû patienter jusqu'au 13e trou avant de loger sa balle dans l'allée à la suite d'un coup de départ.
Le vent s'est amplifié durant la journée, mais Weir, qui a amorcé sa ronde parmi les tout premiers, a également dû combattre la pluie en première moitié de parcours.
Weir est parvenu à sauver les meubles et inscrire un score somme toute respectable grâce à certains coups de qualité.
D'une fosse de sable au 18e trou, par exemple, le Canadien a expédié sa balle à quelques pieds de la coupe avant de caler son roulé pour la normale.
Selon Weir, il s'agit d'un moment important dans une journée qui aurait pu être bien pire.
"J'ai bien fait sur les verts et j'ai réussi de belles récupérations", a-t-il analysé.
Weir n'a eu besoin que de 25 coups roulés pour compléter sa ronde, mais parce qu'il n'a atteint que six des 18 verts en coups prescrits, il a fréquemment dû effectuer des coups d'approche pour ensuite tenter de sauver des normales avec son fer droit.
Au septième trou, une normale-5, Weir a ramené son score à la normale grâce à un eagle. D'une distance de 220 verges et de l'herbe semi-haute, Weir a logé sa balle à 15 pieds du trou à l'aide de son fer-5.
Mais au huitième trou, Weir a raté l'allée au départ, ensuite le vert, et il a finalement commis un bogey.
Les forts vents ont même causé des maux de tête à Weir... sur les verts.
"Lorsque nous faisons face au vent, les verts deviennent très lents, a-t-il noté. Lors de plusieurs roulés, le vent ralentissait considérablement la balle."
Weir, dont les gains de plus de 4,2 millions$ US lui confèrent le premier rang parmi les boursiers de la PGA, n'a jamais connu beaucoup de succès à l'Omnium britannique.
Il a réalisé sa meilleure prestation en 1999, lors de sa première visite, avec une 37e place. En 2001, il n'est pas parvenu à se qualifier pour les deux derniers parcours.
Weir affirme avoir appris à réagir aux mauvais coups du sort dont les golfeurs sont souvent victimes sur les parcours britanniques. Il en a vécu deux dès le début de sa ronde, jeudi.
Sur le premier vert, un brin d'herbe s'est collé à son fer droit, ce qui a affecté la sensation du contact du bâton avec la balle.
Au trou suivant, il croyait avoir frappé un coup de départ idéal. Toutefois, sa balle, après avoir survolé une fosse de sable, est revenue vers l'arrière et trouvé le sable.
"J'ai été victime de bonds bizarres, a admis le golfeur âgé de 33 ans.
"Avec un peu plus de chance, peut-être que je serais plus près de la normale. Il reste que je n'ai pas si bien joué", a-t-il conclu.