Pendant que Tigers a des ennuis, Stephen Ames brille
Golf vendredi, 19 mars 2004. 20:46 dimanche, 15 déc. 2024. 14:35
ORLANDO, Floride (PC) - Pendant que Tiger Woods a vu sa quête pour un autre record prendre un détour majeur vendredi, le Canadien Stephen Ames est venu à un birdie près d'égaler la marque du parcours lors de la deuxième ronde du tournoi Invitation Bay Hill.
En retranchant un coup à la normale au 18e trou, Ames aurait signé une carte de 62 et il se serait hissé au deuxième rang du classement à mi-tournoi.
Cependant, le résidant de Calgary a vu son coup d'approche aboutir dans une fosse de sable et il a dû se contenter d'un double bogey.
Ames a néanmoins joué 65, sept coups sous la normale, et son score cumulatif de 137 lui confère le neuvième échelon, à égalité avec Danny Ellis et Steve Lowery.
Les trois golfeurs affichent un recul de trois coups sur le Japonais Shigeki Maruyama, auteur d'une deuxième ronde consécutive de 66 vendredi.
Pendant ce temps, Woods, qui cherche à devenir le premier joueur, tout circuit confondu, à remporter le même tournoi cinq ans de suite, s'est promené à gauche et à droite des allées.
Ces mésaventures l'ont mené vers une deuxième ronde de 74, deux coups au-dessus de la normale, et à une glissade de 23 rangs au classement général, de la quatrième à la 27e position.
Woods, qui accuse un retard de neuf coups sur Maruyama, devra égaler sa remontée la plus spectaculaire de sa carrière s'il veut passer à l'histoire, une autre fois.
"J'ai besoin de bien jouer pour me placer en position pour effectuer une poussée décisive dimanche. Si les meneurs connaissent du succès, je leur lèverai mon chapeau. Mais je dois d'abord m'occuper de mes affaires."
La chute de Woods a été tout aussi étonnante que la prestation de Maruyama.
En 10 sorties à Bay Hill avant le tournoi de 2004, Maruyama n'était jamais parvenu à jouer sous la barre des 70.
Malgré un bogey au dernier trou, vendredi, l'étoile du golf japonais a amassé suffisamment de birdies pour s'emparer de l'exclusivité du premier rang, deux coups devant Darren Clarke, Chad Campbell et Stuart Appleby.
Il y a quatre ans, alors que Woods visait un septième triomphe d'affilée à un tournoi de la PGA, Maruyama faisait partie des meneurs à mi-parcours.
Interrogé à savoir s'il avait une chance de mettre fin à cette séquence victorieuse, Maruyama avait souri avant de servir cette brève réponse: "Aucune chance!"
Maruyama et Woods avaient terminé le tournoi sur un pied d'égalité au deuxième rang derrière Phil Mickelson.
Encore vendredi, Maruyama a affiché tout son respect envers Woods lorsqu'un journaliste lui a demandé s'il pouvait empêcher le meilleur golfeur au monde d'inscrire un autre record.
"Question très difficile, a d'abord répondu Maruyama, en souriant. Si j'ai une avance de huit coups après la troisième ronde, j'aurai peut-être de bonnes chances."
Tout comme jeudi, Arnold Palmer a fait l'objet des plus chaleureuses ovations.
Âgé de 74 ans, Palmer a inscrit une normale au 18e trou et il a complété le deuxième parcours avec un score de 79 après une ronde de 88, la pire de sa carrière, la veille.
Du même coup, Palmer brisait la barre des 80 pour la première fois en trois ans à son tournoi, auquel il participait possiblement pour la dernière fois.
En retranchant un coup à la normale au 18e trou, Ames aurait signé une carte de 62 et il se serait hissé au deuxième rang du classement à mi-tournoi.
Cependant, le résidant de Calgary a vu son coup d'approche aboutir dans une fosse de sable et il a dû se contenter d'un double bogey.
Ames a néanmoins joué 65, sept coups sous la normale, et son score cumulatif de 137 lui confère le neuvième échelon, à égalité avec Danny Ellis et Steve Lowery.
Les trois golfeurs affichent un recul de trois coups sur le Japonais Shigeki Maruyama, auteur d'une deuxième ronde consécutive de 66 vendredi.
Pendant ce temps, Woods, qui cherche à devenir le premier joueur, tout circuit confondu, à remporter le même tournoi cinq ans de suite, s'est promené à gauche et à droite des allées.
Ces mésaventures l'ont mené vers une deuxième ronde de 74, deux coups au-dessus de la normale, et à une glissade de 23 rangs au classement général, de la quatrième à la 27e position.
Woods, qui accuse un retard de neuf coups sur Maruyama, devra égaler sa remontée la plus spectaculaire de sa carrière s'il veut passer à l'histoire, une autre fois.
"J'ai besoin de bien jouer pour me placer en position pour effectuer une poussée décisive dimanche. Si les meneurs connaissent du succès, je leur lèverai mon chapeau. Mais je dois d'abord m'occuper de mes affaires."
La chute de Woods a été tout aussi étonnante que la prestation de Maruyama.
En 10 sorties à Bay Hill avant le tournoi de 2004, Maruyama n'était jamais parvenu à jouer sous la barre des 70.
Malgré un bogey au dernier trou, vendredi, l'étoile du golf japonais a amassé suffisamment de birdies pour s'emparer de l'exclusivité du premier rang, deux coups devant Darren Clarke, Chad Campbell et Stuart Appleby.
Il y a quatre ans, alors que Woods visait un septième triomphe d'affilée à un tournoi de la PGA, Maruyama faisait partie des meneurs à mi-parcours.
Interrogé à savoir s'il avait une chance de mettre fin à cette séquence victorieuse, Maruyama avait souri avant de servir cette brève réponse: "Aucune chance!"
Maruyama et Woods avaient terminé le tournoi sur un pied d'égalité au deuxième rang derrière Phil Mickelson.
Encore vendredi, Maruyama a affiché tout son respect envers Woods lorsqu'un journaliste lui a demandé s'il pouvait empêcher le meilleur golfeur au monde d'inscrire un autre record.
"Question très difficile, a d'abord répondu Maruyama, en souriant. Si j'ai une avance de huit coups après la troisième ronde, j'aurai peut-être de bonnes chances."
Tout comme jeudi, Arnold Palmer a fait l'objet des plus chaleureuses ovations.
Âgé de 74 ans, Palmer a inscrit une normale au 18e trou et il a complété le deuxième parcours avec un score de 79 après une ronde de 88, la pire de sa carrière, la veille.
Du même coup, Palmer brisait la barre des 80 pour la première fois en trois ans à son tournoi, auquel il participait possiblement pour la dernière fois.